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Stoïcisme

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Définition et étymologie

Le stoïcisme désigne l’école philosophique fondée à Athènes vers 300 avant notre ère par Zénon de Citium, qui enseignait sous le portique peint (Stoa Poikilè) de l’agora, d’où le nom donné à ses disciples : les stoïkoi (ceux du portique). Cette philosophie, qui domine la pensée hellénistique et romaine pendant près de cinq siècles, propose un système complet englobant logique, physique et éthique, mais elle est surtout connue pour son idéal moral de sagesse, caractérisé par la maîtrise des passions, l’acceptation du destin et la vie conforme à la raison universelle.

Le stoïcisme se caractérise par plusieurs thèses centrales. Sur le plan physique, il professe un matérialisme panthéiste : seuls les corps existent, et l’univers est un organisme vivant pénétré par le logos (raison divine, Providence). Sur le plan éthique, il affirme que seule la vertu est un bien, les autres choses étant « indifférentes » ; le bonheur (eudaimonia) consiste à vivre conformément à la nature rationnelle. Sur le plan psychologique, il développe une théorie des passions comme jugements erronés à éliminer pour atteindre l’apatheia (absence de passion) et l’ataraxia (tranquillité de l’âme).

Le terme « stoïcien » en est venu à désigner, dans l’usage courant, toute attitude de résignation courageuse face à l’adversité, bien que cette acception réduise considérablement la richesse du système philosophique original.

Usage philosophique et développements

Les fondations : le Portique ancien (IIIe-IIe siècle av. J.-C.)

Zénon de Citium (334-262 av. J.-C.), phénicien de Chypre, fonde l’école après avoir étudié auprès de philosophes cyniques et mégariques. Il établit les doctrines fondamentales : l’univers est gouverné par une raison providentielle (logos, pneuma, souffle divin) qui assure l’harmonie cosmique ; tout événement est nécessaire, inscrit dans une chaîne causale universelle ; l’homme sage vit en accord avec cette nature rationnelle.

Cléanthe (331-232 av. J.-C.), successeur de Zénon, développe la dimension religieuse du stoïcisme. Son Hymne à Zeus identifie le dieu suprême au logos universel : « Rien ne se fait sur terre sans toi, divin, ni dans l’éther céleste ni sur la mer, excepté ce que font les méchants dans leur folie. » Cette Providence universelle justifie l’acceptation de tout ce qui arrive comme rationnel et bon dans la perspective cosmique.

Chrysippe de Soles (280-206 av. J.-C.), le plus productif des stoïciens anciens (plus de 700 ouvrages perdus), systématise la doctrine. Il développe la logique stoïcienne (logique propositionnelle), la théorie de la connaissance (critère de vérité dans la « représentation compréhensive »), et surtout la physique et l’éthique. Chrysippe défend le déterminisme universel tout en cherchant à préserver la responsabilité morale par une distinction subtile entre causes antécédentes (externes) et causes principales (internes à l’agent).

Physique stoïcienne : matérialisme et providentialisme

Contrairement au dualisme platonicien, les stoïciens affirment que seuls les corps existent réellement. Même l’âme, la vertu, les qualités sont corporelles – elles sont pneuma (souffle) à différents degrés de tension. Cette ontologie matérialiste moniste abolit la séparation entre monde sensible et monde intelligible.

L’univers stoïcien est un organisme vivant unifié, animé par le logos immanent qui le pénètre entièrement comme l’âme pénètre le corps. Ce logos possède plusieurs noms : Dieu, Zeus, Providence, Nature, Destin, Raison universelle. Il organise téléologiquement le cosmos pour le bien du tout. Rien n’arrive par hasard ; tout événement, même apparemment mauvais, s’inscrit dans le plan providentiel : « Ducunt volentem fata, nolentem trahunt » (Le destin guide celui qui consent, il traîne celui qui résiste).

Cette conception entraîne un déterminisme rigoureux : tous les événements sont nécessairement enchaînés selon la causalité universelle. Les stoïciens défendent ce déterminisme contre les critiques épicuriennes (qui introduisent le clinamen, déviation atomique spontanée préservant la liberté). Leur solution au problème du libre arbitre distingue ce qui dépend de nous (nos jugements, nos assentiments) et ce qui n’en dépend pas (événements extérieurs). La liberté consiste à vouloir ce qui arrive nécessairement, à identifier notre volonté particulière avec la Volonté universelle.

Éthique stoïcienne : la sagesse comme vertu

L’éthique constitue le cœur vivant du stoïcisme. Le telos (fin, but suprême) de la vie humaine consiste à « vivre conformément à la nature », c’est-à-dire selon la raison qui est notre nature propre et qui nous relie à la Raison cosmique. Cette conformité se réalise par la pratique de la vertu, seul bien véritable.

Les stoïciens radicalisent l’intellectualisme socratique : la vertu est connaissance, science du bien et du mal. Réciproquement, tout vice est ignorance. Les quatre vertus cardinales (sagesse, courage, justice, tempérance) ne sont que des aspects de la vertu unique, la phronèsis (prudence, sagesse pratique). Le sage, idéal rarement voire jamais atteint, possède toutes les vertus parfaitement, vit en harmonie totale avec la nature, reste imperturbable face aux vicissitudes.

La doctrine des « indifférents » (adiaphora) structure l’évaluation stoïcienne. Seules la vertu (bien) et le vice (mal) ont une valeur morale absolue. Tout le reste – santé, richesse, réputation, même la vie – est moralement indifférent, n’affectant pas le bonheur du sage. Cependant, parmi les indifférents, certains sont « préférables » (proègmena : santé, richesse modérée), d’autres « non préférables » (apoproègmena : maladie, pauvreté). Cette distinction subtile permet l’action rationnelle dans le monde tout en maintenant le détachement moral.

Théorie des passions : vers l’apatheia

Les passions (pathè) constituent l’obstacle principal à la sagesse. Contrairement à Aristote qui cherche la juste mesure des passions, les stoïciens visent leur extirpation complète. Les passions ne sont pas des mouvements irrationnels de l’âme mais des jugements erronés, des assentiments incorrects à des représentations trompeuses. Il existe quatre passions primaires : désir et crainte (concernant des biens ou maux futurs), plaisir et peine (concernant des biens ou maux présents).

Le désir juge à tort qu’un objet futur (richesse, gloire) est un bien nécessaire au bonheur. La crainte juge qu’un événement futur (mort, pauvreté) est un mal. Or, puisque seule la vertu est un bien et seul le vice un mal, ces jugements sont faux. Le sage remplace ces passions par des « bonnes affections » (eupatheiai) : volonté rationnelle, prudence, joie raisonnable.

L’apatheia (absence de passion) n’est donc pas insensibilité ou indifférence affective mais liberté intérieure résultant de jugements corrects. Le sage éprouve des « pré-passions » (propatheiai), réactions physiologiques involontaires (pâlir face au danger), mais il ne donne pas son assentiment, ne juge pas que le danger soit un mal véritable.

Le Portique moyen et la transition romaine

Aux IIe-Ier siècles av. J.-C., le stoïcisme se diffuse dans le monde romain. Panétius de Rhodes (185-110 av. J.-C.) et Posidonius d’Apamée (135-51 av. J.-C.) adaptent la doctrine au contexte romain, l’assouplissant quelque peu. Panétius admet une hiérarchie des indifférents plus marquée, Posidonius réintroduit une psychologie tripartite reconnaissant l’irrationalité partielle de l’âme, se rapprochant de Platon.

Le stoïcisme romain impérial : sagesse pratique

Le stoïcisme romain des Ier-IIe siècles de notre ère privilégie l’éthique pratique sur les subtilités logiques et physiques. Trois figures majeures incarnent cette sagesse vécue.

Sénèque (4 av. J.-C.-65 ap. J.-C.), précepteur de Néron puis contraint au suicide, laisse une œuvre considérable (Lettres à Lucilius, traités moraux, tragédies). Sa philosophie est direction spirituelle concrète : comment vivre sagement malgré les passions, la peur de la mort, les vicissitudes politiques ? Sénèque insiste sur l’examen de conscience quotidien, la méditation de la mort (memento mori), la retraite intérieure, l’amitié philosophique. « Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas, c’est parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles. » Sa pensée, profondément romaine et stoïcienne, influence le christianisme naissant.

Épictète (50-130 ap. J.-C.), esclave affranchi devenu philosophe, enseigne à Nicopolis. Ses Entretiens et son Manuel (résumé par Arrien) constituent des chefs-d’œuvre de pédagogie philosophique. Épictète radicalise la distinction fondamentale : « Il y a ce qui dépend de nous et ce qui ne dépend pas de nous. » Dépendent de nous : opinions, désirs, aversions, en un mot nos jugements. Ne dépendent pas de nous : corps, biens, réputation, charges publiques. Le malheur provient de la confusion : désirer ce qui ne dépend pas de nous, nous garantit frustration et trouble. La sagesse consiste à concentrer notre énergie sur ce qui dépend réellement de nous, acceptant sereinement le reste. « Ne demande pas que les événements arrivent comme tu le souhaites, mais souhaite qu’ils arrivent comme ils arrivent, et tu seras en paix. »

Marc Aurèle (121-180 ap. J.-C.), empereur philosophe, écrit pour lui-même ses Pensées (Ta eis heauton, « À soi-même ») pendant les campagnes militaires. Ces méditations intimes manifestent la tension entre idéal stoïcien et réalité du pouvoir. Marc Aurèle rappelle constamment l’impermanence : « Tout n’est qu’opinion », « Bientôt tu auras tout oublié, bientôt tous t’auront oublié ». Il insiste sur le devoir cosmique : chacun est membre du grand corps de l’humanité, partie du Tout divin. L’empereur pratique la visualisation négative (praemeditatio malorum) : imaginer d’avance les malheurs possibles pour s’y préparer. Sa pensée, empreinte de mélancolie lucide, exprime un stoïcisme vécu, non dogmatique.

Influence et postérité

Le stoïcisme décline après Marc Aurèle mais exerce une influence durable. Le christianisme primitif intègre des éléments stoïciens : Providence divine, loi naturelle, égalité fondamentale des hommes (cosmopolitisme), exercices spirituels. Paul de Tarse connaît le stoïcisme, Augustin s’en inspire partiellement.

À la Renaissance, le néo-stoïcisme (Juste Lipse, Guillaume du Vair) adapte la doctrine antique au contexte des guerres de religion, valorisant constance et maîtrise de soi. Montaigne dialogue avec les stoïciens dans les Essais, oscillant entre admiration et critique de leur rigorisme.

Descartes, dans les Passions de l’âme et sa correspondance avec Élisabeth de Bohême, reprend des thèmes stoïciens : maîtriser ce qui dépend de nous, cultiver la « générosité » (équivalent cartésien de la magnanimité stoïcienne).

Spinoza réinterprète le stoïcisme dans un cadre rationaliste moderne. Son amor fati (« amour du destin »), sa conception de la liberté comme nécessité comprise, son déterminisme rigoureux, sa béatitude intellectuelle prolongent l’éthique stoïcienne.

Kant respecte la moralité stoïcienne tout en critiquant son eudémonisme : les stoïciens confondent selon lui vertu et bonheur, alors que le devoir moral doit être accompli indépendamment de toute recherche du bonheur.

Au XXe siècle, le stoïcisme connaît un renouveau. Michel Foucault, dans ses derniers cours (L’Herméneutique du sujet, Le Courage de la vérité), analyse les exercices spirituels stoïciens comme « techniques de soi » ou « pratiques de liberté ». Pierre Hadot montre que la philosophie antique, particulièrement stoïcienne, était essentiellement mode de vie, transformation de soi, non système théorique abstrait.

La psychologie contemporaine s’inspire du stoïcisme. La thérapie cognitivo-comportementale (TCC) d’Aaron Beck et Albert Ellis reprend l’idée stoïcienne que ce ne sont pas les événements qui nous troublent mais nos jugements sur eux. La thérapie d’acceptation et d’engagement (ACT) de Steven Hayes intègre explicitement des principes stoïciens.

Un « néo-stoïcisme » populaire émerge aujourd’hui (Massimo Pigliucci, William Irvine, Ryan Holiday), proposant le stoïcisme comme philosophie de vie pratique pour le monde contemporain : gérer le stress, cultiver la résilience, distinguer l’essentiel du superflu, pratiquer la gratitude.

Le stoïcisme demeure ainsi une philosophie vivante qui continue d’offrir sagesse pratique et sérénité existentielle à travers sa distinction fondamentale entre ce qui dépend de nous et ce qui n’en dépend pas, son invitation à vivre selon la raison et la nature, et sa promesse d’une liberté intérieure inattaquable par les vicissitudes extérieures. « Tu as le pouvoir sur ton esprit, non sur les événements extérieurs. Réalise cela, et tu trouveras la force » (Marc Aurèle).

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