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Axiologique

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Définition et étymologie

Le terme axiologique qualifie ce qui relève des valeurs, de leur nature, de leur fondement et de leur hiérarchie. Il dérive du grec axios (« digne », « qui a de la valeur »), auquel s’ajoute le suffixe -logie (du grec logos, « discours », « étude »). L’axiologie désigne donc littéralement la « science des valeurs » ou l’« étude de ce qui a de la valeur ».

Dans le vocabulaire philosophique, « axiologique » s’emploie pour désigner tout ce qui concerne les jugements de valeur par opposition aux jugements de fait. Un énoncé axiologique affirme qu’une chose est bonne ou mauvaise, belle ou laide, juste ou injuste, désirable ou répréhensible, plutôt que de décrire objectivement ce qui est. Par exemple, « cette action est courageuse » (jugement de fait) diffère de « le courage est une vertu » (jugement axiologique). De même, « ce tableau représente un coucher de soleil » décrit un fait, tandis que « ce tableau est beau » exprime une évaluation axiologique.

On distingue généralement plusieurs domaines axiologiques correspondant à différents types de valeurs : les valeurs éthiques ou morales (bien/mal, juste/injuste, vertueux/vicieux), les valeurs esthétiques (beau/laid, sublime/trivial, harmonieux/discordant), les valeurs épistémiques (vrai/faux, rationnel/irrationnel, cohérent/contradictoire), les valeurs pragmatiques (utile/inutile, efficace/inefficace), les valeurs hédoniques (agréable/désagréable, plaisant/douloureux), et les valeurs vitales (sain/malsain, fort/faible, vivant/mort).

La philosophie axiologique s’interroge sur plusieurs questions fondamentales : quelle est la nature des valeurs ? Sont-elles objectives (propriétés réelles des choses) ou subjectives (projections de nos préférences) ? Universelles ou relatives aux cultures ? Absolues ou hiérarchisées ? Comment connaissons-nous les valeurs ? Existe-t-il une intuition axiologique spécifique ? Comment résoudre les conflits de valeurs ?

Usage philosophique

Bien que la réflexion sur les valeurs traverse toute l’histoire de la philosophie, le terme « axiologie » et l’adjectif « axiologique » n’apparaissent qu’au XIXe siècle, témoignant d’une prise de conscience de la spécificité du domaine des valeurs comme objet d’étude autonome.

Dans l’Antiquité grecque, la question axiologique structure la philosophie sans être thématisée comme telle. Socrate interroge constamment ses interlocuteurs sur la nature des valeurs : qu’est-ce que le courage ? La justice ? La piété ? La vertu ? Cette recherche définitionnelle vise à saisir l’essence de ces valeurs morales. Platon développe une métaphysique axiologique dans sa théorie des Idées. L’Idée du Bien constitue le sommet de la hiérarchie ontologique, source de toute réalité et de toute connaissance. Les valeurs (Justice, Beauté, Courage) possèdent une existence objective comme Idées éternelles. La dimension axiologique est ainsi inscrite dans la structure même du réel.

Aristote, dans son Éthique à Nicomaque, développe une réflexion axiologique systématique sans employer ce terme. Il distingue les biens (ce qui a de la valeur) en plusieurs catégories : biens instrumentaux (moyens en vue d’autre chose), biens intrinsèques (désirables pour eux-mêmes), et le Bien suprême (summum bonum) qu’est le bonheur (eudaimonia). Il établit une hiérarchie des vies selon leurs fins : vie de plaisir, vie politique, vie contemplative, cette dernière étant la plus haute car elle actualise ce qu’il y a de divin en l’homme. Aristote développe également une théorie de la vertu comme juste milieu (mesotès) entre deux vices extrêmes, établissant ainsi une évaluation axiologique nuancée des dispositions de caractère.

La philosophie stoïcienne opère une radicalisation axiologique : seule la vertu possède une valeur authentique ; tout le reste (santé, richesse, plaisir) est « indifférent » (adiaphora). Cette dichotomie axiologique stricte entre le bien moral et tout le reste fonde l’éthique stoïcienne de l’imperturbabilité (ataraxia).

Le christianisme médiéval intègre la dimension axiologique dans une théologie. Thomas d’Aquin, dans sa Somme théologique, développe une hiérarchie des biens : Dieu comme Bien suprême, puis les créatures selon leur degré de perfection. La loi naturelle inscrite dans la création fonde objectivement les valeurs morales. Le bien et l’être (bonum et ens) sont convertibles : tout être possède une bonté dans la mesure de son être. Cette ontologie axiologique unifie métaphysique et éthique.

La modernité bouleverse profondément la réflexion axiologique. David Hume, dans son Traité de la nature humaine (1739-1740), formule ce qu’on appellera plus tard la « loi de Hume » ou « guillotine de Hume » : on ne peut dériver logiquement un « devoir-être » (ought) d’un « être » (is). Les jugements de valeur ne se déduisent pas des jugements de fait. Cette séparation radicale entre fait et valeur structure toute la philosophie morale ultérieure. Hume fonde les valeurs morales sur le sentiment moral, la sympathie, plutôt que sur la raison : l’axiologie devient affaire de psychologie émotive.

Emmanuel Kant opère une révolution dans la pensée axiologique avec sa Critique de la raison pratique (1788). Il distingue rigoureusement le domaine théorique (connaissance de ce qui est) du domaine pratique (détermination de ce qui doit être). La loi morale, expression de la raison pure pratique, fonde les valeurs éthiques de manière autonome, a priori, indépendante de toute anthropologie ou psychologie. Le seul bien absolu est la bonne volonté, intention d’agir par devoir. Kant hiérarchise également les valeurs : la dignité humaine (valeur absolue) transcende tout prix (valeur relative). Dans la Critique de la faculté de juger (1790), il analyse les jugements esthétiques comme prétendant à l’universalité tout en restant subjectifs, établissant un statut axiologique particulier pour le beau.

Au XIXe siècle, l’utilitarisme de Jeremy Bentham et John Stuart Mill propose une axiologie moniste : une seule valeur fondamentale (le plaisir ou le bonheur) dont toutes les autres dérivent. Le principe d’utilité (« le plus grand bonheur pour le plus grand nombre ») fournit un critère axiologique unique pour évaluer actions, lois et institutions. Cette réduction axiologique simplifie les dilemmes moraux mais suscite des critiques : peut-on vraiment réduire toutes les valeurs à une seule dimension quantifiable ?

Friedrich Nietzsche bouleverse radicalement la réflexion axiologique dans sa Généalogie de la morale (1887). Les valeurs n’ont pas de fondement métaphysique objectif ; elles sont créées historiquement par des types humains différents exprimant leur volonté de puissance. La « transmutation des valeurs » (Umwertung aller Werte) qu’il appelle de ses vœux inverse la hiérarchie axiologique traditionnelle : ce qui était valorisé (humilité, pitié, égalité) doit être dévalué ; ce qui était dévalué (force, fierté, aristocratie) doit être revalorisé. Nietzsche inaugure une approche généalogique et perspectiviste de l’axiologie : les valeurs n’existent pas en soi mais expriment des perspectives vitales.

C’est au tournant du XXe siècle que l’axiologie émerge comme discipline philosophique autonome. Le néo-kantien Wilhelm Windelband, dans son discours de rectorat « Histoire et science de la nature » (1894), distingue les sciences nomothétiques (recherchant des lois générales) des sciences idiographiques (décrivant des événements singuliers). Cette distinction repose sur une différence axiologique : les sciences de la culture s’intéressent à ce qui a de la valeur, de la signification historique unique.

Heinrich Rickert, dans Science de la culture et science de la nature (1899), développe cette perspective. Les valeurs constituent le domaine spécifique des sciences humaines. La réalité empirique est en elle-même une multiplicité infinie indifférenciée ; seul le rapport aux valeurs permet de sélectionner ce qui est historiquement significatif. L’historien choisit ses objets en fonction de leur « rapport aux valeurs » (Wertbeziehung), sans pour autant porter des jugements de valeur.

Max Scheler (1874-1928) développe la phénoménologie axiologique la plus systématique dans son ouvrage Le Formalisme en éthique et l’éthique matériale des valeurs (1913-1916). Contre Kant, Scheler affirme que les valeurs ne sont pas des constructions formelles de la raison mais des qualités matérielles objectives, saisies par un « sentir intentionnel » (Fühlen) spécifique. Nous percevons directement la noblesse d’un acte, la beauté d’un paysage, le sacré d’un rituel, par une intuition émotionnelle immédiate, avant tout jugement conceptuel.

Scheler établit une hiérarchie axiologique objective en quatre rangs : valeurs sensibles hédoniques (agréable/désagréable), valeurs vitales (noble/vulgaire, sain/malade), valeurs spirituelles (beau/laid, juste/injuste, vrai/faux), et valeurs religieuses (sacré/profane). Cette hiérarchie se fonde sur plusieurs critères : durabilité (les valeurs supérieures sont plus durables), divisibilité (les valeurs supérieures ne diminuent pas en étant partagées), fondation (les valeurs supérieures fondent les inférieures), satisfaction (les valeurs supérieures procurent une satisfaction plus profonde).

Nicolaï Hartmann, dans son Éthique (1926), poursuit cette axiologie matériale. Les valeurs constituent un royaume autonome, objectif, idéal mais non réel. Elles ne dépendent ni de Dieu ni des sujets humains. Hartmann décrit les « antinomies axiologiques » : conflits irréductibles entre valeurs également légitimes (par exemple entre justice et miséricorde) qui rendent la vie morale tragiquement complexe. Il n’existe pas de système axiologique parfaitement cohérent permettant de résoudre tous les dilemmes.

Jean-Paul Sartre, dans L’Être et le Néant (1943), développe une axiologie existentialiste radicale. Les valeurs n’existent pas objectivement ; elles sont créées par le libre choix humain. « L’existence précède l’essence » : l’homme n’a pas de nature préalable qui déterminerait des valeurs ; il doit créer ses propres valeurs par ses actes. Cette liberté axiologique est vertigineuse et angoissante : « nous sommes condamnés à être libres », à choisir nos valeurs sans garantie objective.

La philosophie analytique anglo-saxonne aborde l’axiologie sous l’angle de la métaéthique. G.E. Moore, dans Principia Ethica (1903), affirme que « bon » désigne une propriété simple, indéfinissable, non-naturelle, connue par intuition. Toute tentative de définir le bien par des propriétés naturelles (plaisir, désir, évolution) commet le « sophisme naturaliste » (naturalistic fallacy). Cette position axiologique non-naturaliste affirme l’irréductibilité des valeurs aux faits.

L’émotivisme, défendu par Alfred Jules Ayer dans Langage, vérité et logique (1936) et Charles Leslie Stevenson dans Ethics and Language (1944), adopte une position anti-réaliste radicale. Les énoncés axiologiques n’expriment pas des propriétés objectives mais des émotions et des attitudes. Dire « le mensonge est mal » revient à exprimer une désapprobation émotive (« Mensonge ! Pouah ! ») et à tenter d’influencer autrui. Les jugements de valeur n’ont ni vérité ni fausseté cognitive ; ils sont des pseudo-propositions à fonction expressive et prescriptive.

Richard Mervyn Hare développe le prescriptivisme dans Le Langage de la morale (1952). Les jugements moraux sont des prescriptions universalisables, des commandements rationnels que nous adressons à nous-mêmes et aux autres. Bien que non-descriptifs, ils possèdent une logique propre et peuvent être rationnellement argumentés.

Le réalisme moral contemporain, défendu par des philosophes comme David Brink, Richard Boyd ou Russ Shafer-Landau, réhabilite l’objectivité axiologique. Les propriétés morales existent réellement, indépendamment de nos croyances, émotions ou conventions. Elles peuvent être naturelles (réductibles à des propriétés scientifiquement descriptibles) ou non-naturelles (sui generis). Le débat entre naturalisme et non-naturalisme axiologique demeure ouvert.

Christine Korsgaard développe un constructivisme kantien dans Les Sources de la normativité (1996). Les valeurs ne préexistent pas à notre activité mais sont construites par la raison pratique dans son auto-législation. La normativité axiologique dérive de notre identité pratique comme agents rationnels.

L’éthique des vertus contemporaine (Alasdair MacIntyre, Philippa Foot, Rosalind Hursthouse) réintroduit une axiologie aristotélicienne. Les vertus sont des excellences objectivement fondées sur la nature humaine et le contexte social. Cette approche néo-aristotélicienne propose une axiologie téléologique : les valeurs se comprennent par rapport aux fins constitutives de la vie humaine épanouie.

En sciences sociales, Max Weber distingue quatre types de rationalité dont deux sont axiologiques : la rationalité en valeur (Wertrationalität), qui agit selon des valeurs inconditionnellement affirmées indépendamment des conséquences, et la rationalité instrumentale (Zweckrationalität), qui calcule les moyens efficaces pour atteindre des fins. Weber affirme également la nécessité d’une « neutralité axiologique » (Wertfreiheit) dans la science : le savant doit distinguer rigoureusement ses jugements de fait de ses jugements de valeur, même si le choix des objets de recherche implique un rapport aux valeurs.

L’axiologie demeure ainsi un champ philosophique vivant et controversé, oscillant entre réalisme (les valeurs existent objectivement) et anti-réalisme (elles sont projections subjectives ou constructions sociales), entre cognitivisme (les jugements de valeur ont une valeur de vérité) et non-cognitivisme (ils expriment seulement des attitudes), entre universalisme (certaines valeurs sont universellement valides) et relativisme (les valeurs varient selon les cultures). Ces débats révèlent la difficulté persistante à articuler le domaine des valeurs avec celui des faits, la normativité avec la description, le « devoir-être » avec l’« être », tension constitutive de l’expérience humaine comme existence à la fois incarnée dans le monde et capable de l’évaluer, de le critiquer et de le transformer selon des idéaux.

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