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Structure
  1. En raccourci
  2. Des origines modestes à l’engagement révolutionnaire
    1. Une enfance marquée par la pauvreté et l’étude
    2. Le militantisme anti-Mandchou
    3. La transition vers la philosophie
  3. La formation bouddhiste et la rupture
    1. L’immersion à l’Institut d’études bouddhistes
    2. La critique du Yogācāra
    3. L’émergence d’une pensée propre
    4. Publication du Nouveau Traité sur la Conscience Seule
    5. Le cœur de la métaphysique : Ti-Yong Bu Er
    6. La conscience originelle et la transformation morale
  4. L’ère communiste et les dernières années
    1. Une adaptation difficile à la République Populaire
    2. La « solitude » philosophique
    3. La Révolution culturelle et la fin
  5. Héritage et postérité du Nouveau Confucianisme
    1. Le père du Néoconfucianisme moderne
    2. Une influence déterminante sur la « deuxième génération »
    3. Réévaluation contemporaine
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Xiong Shili (1885–1968) : La métaphysique du néoconfucianisme moderne

  • 24/10/2025
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Nom d’origine熊十力 (Xióng Shílì)
OrigineChine (Province du Hubei)
Importance★★★★★
CourantsPhilosophie chinoise, Néoconfucianisme moderne
ThèmesMétaphysique, Ontologie, *Ti-Yong* (Substance et Fonction), *Xin Weishi Lun* (Nouveau Traité sur la Conscience Seule), Critique du bouddhisme Yogācāra

Xiong Shili est l’une des figures les plus importantes de la philosophie chinoise du XXe siècle. Il est largement considéré comme l’un des pères fondateurs du Nouveau Confucianisme (ou Néoconfucianisme moderne), un mouvement qui cherchait à revitaliser la pensée confucéenne face aux défis de la modernité et de l’influence occidentale.

En raccourci

Né dans une famille pauvre du Hubei à la fin de la dynastie Qing, Xiong Shili a d’abord été un révolutionnaire anti-Mandchou avant de se tourner vers la philosophie. Rejetant une carrière militaire après la révolution de 1911, il s’immerge dans l’étude du bouddhisme, notamment l’école de la « Conscience Seule » (Yogācāra), à l’Institut d’études bouddhistes de Nankin. Rapidement, il trouve cette école trop négative et détachée du monde réel, critiquant sa séparation entre une réalité absolue et le monde phénoménal.
Sa grande rupture philosophique a été de réinterpréter cette tradition bouddhiste à travers le prisme du confucianisme, en particulier du Livre des Mutations (Yijing). Son œuvre majeure, le Nouveau Traité sur la Conscience Seule (Xin Weishi Lun), propose une nouvelle métaphysique. Il y affirme que la Réalité ultime (la Substance, ti) n’est pas statique ou vide, mais une force créatrice dynamique qui se manifeste constamment dans le monde (la Fonction, yong). Pour lui, la réalité et ses manifestations sont indissociables (ti yong bu er). Cette vision a permis de redonner au confucianisme une base ontologique robuste pour affronter la modernité, influençant profondément ses élèves comme Mou Zongsan et Tang Junyi.

Des origines modestes à l’engagement révolutionnaire

Une enfance marquée par la pauvreté et l’étude

Xiong Shili naît en 1885 dans une famille pauvre du district de Huangzhou, dans la province du Hubei, durant les dernières décennies tumultueuses de la dynastie Qing. Son père, enseignant dans des écoles privées locales, lui dispense une éducation précoce axée sur les classiques confucéens. La mort prématurée de son père contraint Xiong à devenir autodidacte très tôt. Il développe rapidement une passion pour l’étude, mais aussi un vif intérêt pour les idées réformistes qui circulent alors en Chine, face à l’incapacité de l’empire à répondre aux agressions étrangères.

Cette jeunesse précaire forge chez lui un caractère indépendant et une détermination farouche. Rejetant la voie traditionnelle des examens impériaux, qu’il juge obsolète et complice de la faiblesse de la Chine, il se tourne vers une forme d’action plus directe : la révolution.

Le militantisme anti-Mandchou

Vers 1902, à l’âge de 18 ans, Xiong Shili se rend à Wuchang pour rejoindre l’armée, avec l’intention de participer au mouvement anti-Mandchou. Influencé par des penseurs comme Wang Fuzhi (Wang Chuanshan), un loyaliste Ming du XVIIe siècle, il développe un patriotisme Han fervent. Il s’engage activement dans des activités clandestines, servant d’agent de liaison entre les groupes révolutionnaires et les soldats de la « Nouvelle Armée » impériale.

En 1904, il co-fonde une « École scientifique du soir » (Kēxué bǔxí suǒ) à Wuchang, qui sert de façade pour propager les idées révolutionnaires. Son activisme lui vaut d’être activement recherché par les autorités Qing, une prime étant mise sur sa tête, ce qui le force à vivre dans la clandestinité. Il participe activement au soulèvement de Wuchang en octobre 1911, qui déclenche la Révolution Xinhai et mène à la chute de la dynastie Qing et à la fondation de la République de Chine.

La transition vers la philosophie

Malgré le succès de la révolution, Xiong Shili est rapidement déçu par le chaos politique, l’opportunisme et les luttes de pouvoir qui s’ensuivent. La nouvelle République ne parvient pas à unifier et à renforcer le pays comme il l’espérait. Cette désillusion politique marque un tournant décisif dans sa vie. Il réalise que le problème de la Chine n’est pas seulement politique ou militaire, mais fondamentalement culturel et spirituel.

Il quitte l’armée en 1917 et, après un bref passage dans l’enseignement secondaire, il décide de se consacrer entièrement à la philosophie. Il cherche dans la tradition chinoise, et plus particulièrement dans le bouddhisme, les fondements intellectuels nécessaires à la reconstruction morale et spirituelle de la nation.

La formation bouddhiste et la rupture

L’immersion à l’Institut d’études bouddhistes

En 1920, Xiong Shili se rend à Nankin (Nanjing) pour rejoindre le prestigieux Institut Chinois d’Études Intérieures (支那內學院). Cet institut, dirigé par le célèbre érudit bouddhiste laïc Ouyang Jingwu (歐陽漸), est alors le principal centre de la renaissance du bouddhisme Yogācāra (瑜伽行派) en Chine. Le Yogācāra, également connu sous le nom de Weishi (唯識) ou école de la « Conscience Seule », est une tradition idéaliste sophistiquée du bouddhisme Mahāyāna qui analyse la réalité comme une projection de la conscience.

Xiong s’immerge totalement dans ces études complexes. Il devient rapidement un expert reconnu de la doctrine Yogācāra, maîtrisant ses textes et ses concepts subtils. Son intelligence et son sérieux lui valent d’être remarqué. En 1925, il accepte un poste d’enseignant à l’Université de Wuchang, puis, peu après, rejoint le département de philosophie de la prestigieuse Université de Pékin (Beida), le cœur intellectuel de la Chine.

La critique du Yogācāra

C’est précisément sa maîtrise profonde du Yogācāra qui conduit Xiong Shili à une rupture philosophique. Il commence à percevoir ce qu’il considère comme des failles fondamentales dans ce système, en particulier dans sa vision du monde. Il reproche au Yogācāra orthodoxe (tel que transmis par Xuanzang) de créer une scission insurmontable entre la réalité absolue (la nature des Dharmas, faxing) et le monde phénoménal conditionné (les caractères des Dharmas, faxiang).

Pour Xiong, cette vision conduit à une négation du monde réel et à une forme de pessimisme. Il estime que cette philosophie, en traitant le monde comme une pure illusion à transcender, ne peut pas fournir la base positive et dynamique dont la Chine a besoin pour se reconstruire. Il cherche une métaphysique qui affirme la réalité et la valeur du monde et de l’action humaine, une métaphysique qui puisse fonder une éthique confucéenne robuste.

L’émergence d’une pensée propre

Durant ses premières années à l’Université de Pékin, Xiong commence à formuler sa propre réponse philosophique. Il entame la rédaction de ce qui deviendra son œuvre maîtresse, le Xin Weishi Lun (新唯識論), ou Nouveau Traité sur la Conscience Seule. Le titre lui-même est une déclaration d’intention : il ne s’agit pas d’un simple commentaire, mais d’une réécriture radicale et d’une critique de l’ancien traité de la Conscience Seule.

Il puise son inspiration non seulement dans le bouddhisme (en particulier le Traité sur l’éveil de la foi dans le Mahāyāna, qu’il préfère au Yogācāra orthodoxe), mais surtout dans la tradition confucéenne, en particulier le Livre des Mutations (Yijing). Il cherche à synthétiser l’idéalisme bouddhiste et le dynamisme cosmologique du Yijing pour créer un nouveau système.

Publication du Nouveau Traité sur la Conscience Seule

La première version du Xin Weishi Lun est publiée en 1932. Cet ouvrage complexe et dense établit Xiong Shili comme un penseur majeur et original. C’est une tentative systématique de construire une nouvelle philosophie chinoise capable de dialoguer avec la modernité tout en restant ancrée dans la tradition. L’œuvre est une réponse directe à la crise intellectuelle du Mouvement du 4 Mai (1919), qui avait largement rejeté le confucianisme comme responsable de la faiblesse de la Chine.

Xiong prend le contre-pied de ce rejet. Il soutient que le confucianisme, s’il est correctement refondé sur une base métaphysique solide, est la seule voie viable pour la Chine. Son livre est une tentative de fournir cette base ontologique.

Le cœur de la métaphysique : Ti-Yong Bu Er

Le concept central de la philosophie de Xiong est Ti-Yong Bu Er (體用不二), ce qui se traduit par « la Substance et la Fonction ne sont pas deux ».

Ti (體) : La Substance. C’est la Réalité ultime, le fondement ontologique de tout ce qui existe. Contrairement à la nature des Dharmas statique du Yogācāra ou à la Substance immobile de certaines philosophies occidentales, le Ti de Xiong est purement dynamique. Il l’identifie à la « transformation incessante » (恆轉) décrite dans le Yijing. C’est un processus créatif, une vitalité originelle, qu’il nomme aussi Benxin (l’Esprit/Conscience Originel).
Yong (用) : La Fonction. C’est la manifestation phénoménale, le monde changeant et diversifié que nous percevons, l’activité de la Substance.

L’argument crucial de Xiong est leur non-dualité. La Substance (Ti) n’existe pas « derrière » ou « séparée » de ses manifestations (Yong). Au contraire, la Substance est son activité incessante ; la Fonction est la manifestation de la Substance. Le monde phénoménal n’est donc pas une illusion à rejeter (comme dans le bouddhisme qu’il critique), mais la réalité même en action.

La conscience originelle et la transformation morale

Cette métaphysique a des implications éthiques directes. Xiong distingue le Benxin (l’Esprit Originel, identifié au Ti dynamique) du Xixin (l’esprit habituel ou discriminant). Le Xixin est l’esprit qui segmente la réalité, crée des attachements et se coupe de la source créatrice, menant à l’égoïsme et à l’aliénation.

Le but de la pratique philosophique et morale, pour Xiong, est de surmonter la domination de l’esprit habituel pour revenir à l’Esprit Originel. Il s’agit de réaliser que notre propre nature profonde est identique à la vitalité créatrice de l’univers. Les vertus confucéennes, comme la bienveillance (Ren), ne sont donc pas de simples normes sociales, mais l’expression humaine de cette réalité ontologique dynamique.

Son système est un monisme vitaliste : il n’y a qu’une seule Réalité, elle est vivante, créatrice, et l’être humain y participe directement par son action morale. Il publie plusieurs autres ouvrages développant ces thèses, notamment Mingxin Pian (Sur la clarification de l’esprit) et Ti Yong Lun (Traité sur la Substance et la Fonction).

L’ère communiste et les dernières années

Une adaptation difficile à la République Populaire

Après la victoire communiste et la fondation de la République Populaire de Chine en 1949, Xiong Shili retourne brièvement enseigner au département de philosophie de l’Université de Pékin. Cependant, son système métaphysique idéaliste est en opposition frontale avec le matérialisme dialectique marxiste, qui devient l’idéologie officielle de l’État.

Il tente de trouver un terrain d’entente, mais ses idées sont considérées comme réactionnaires. Durant cette période, il achève son ouvrage Yuan Ru (原儒, Sur l’origine du Confucianisme), une tentative de retracer l’essence originelle de la pensée confucéenne. Se sentant de plus en plus marginalisé dans le nouveau climat intellectuel, il prend sa retraite de l’université en 1954 et part vivre à Shanghai auprès de son fils.

La « solitude » philosophique

Xiong Shili était réputé pour son caractère difficile, son intransigeance et ce qu’il appelait son « esprit de froide solitude » (孤冷, gū lěng). Il affirmait qu’« une personne qui n’est pas solitaire à l’extrême ne peut s’harmoniser avec le monde ». Il cultivait ce qu’il nommait « l’esprit d’aller seul » (孤往精神, gū wǎng jīngshén), insistant sur le fait que le penseur doit suivre la vérité fondamentale, indépendamment des modes intellectuelles ou des pressions politiques.

Cette solitude philosophique devient une réalité écrasante dans les années 1950 et 1960. Alors que ses principaux disciples ont fui à Taiwan ou à Hong Kong, il reste en Chine continentale, de plus en plus isolé, comme un vestige d’un monde philosophique révolu.

La Révolution culturelle et la fin

La tragédie atteint son apogée avec le déclenchement de la Révolution culturelle en 1966. En tant que figure intellectuelle majeure associée à la fois au confucianisme et à l’idéalisme, Xiong Shili devient une cible de choix pour les Gardes Rouges. Il est publiquement humilié, persécuté et dénoncé comme un « académicien bourgeois réactionnaire ».

Ces persécutions détruisent sa santé déjà fragile. Il meurt à Shanghai le 23 mai 1968, en plein cœur de la tourmente qui cherche à éradiquer la tradition même qu’il a passé sa vie à vouloir reconstruire.

Héritage et postérité du Nouveau Confucianisme

Le père du Néoconfucianisme moderne

Malgré sa fin tragique, l’impact de Xiong Shili sur la philosophie chinoise du XXe siècle est immense. Il est universellement reconnu comme l’une des figures fondatrices du Nouveau Confucianisme moderne. Aux côtés de Liang Shuming et Ma Yifu, il est souvent considéré comme l’un des « Trois Sages » de ce mouvement.

Son accomplissement majeur est d’avoir été le premier à fournir une réponse métaphysique systématique et originale à la crise du confucianisme. Il a redonné à cette tradition une profondeur ontologique qu’elle avait perdue, la rendant capable de répondre aux défis de la science et de la philosophie occidentales.

Une influence déterminante sur la « deuxième génération »

L’héritage le plus visible de Xiong Shili se trouve dans l’œuvre de ses étudiants directs, qui forment le cœur de la « deuxième génération » du Nouveau Confucianisme. Après 1949, ses disciples les plus brillants, notamment Mou Zongsan (牟宗三), Tang Junyi (唐君毅) et Xu Fuguan (徐復觀), s’installent à Hong Kong et à Taiwan.

Ils reprennent le projet fondamental de Xiong – fonder l’éthique confucéenne sur une métaphysique de l’immanence – et le développent de manière extraordinairement sophistiquée. Mou Zongsan, en particulier, combinera la métaphysique de Xiong avec une lecture approfondie de la philosophie kantienne pour construire l’un des systèmes les plus complexes de la pensée chinoise moderne.

Réévaluation contemporaine

Après la fin de la Révolution culturelle et l’ouverture de la Chine, l’œuvre de Xiong Shili a été réhabilitée et fait l’objet d’un immense regain d’intérêt en Chine continentale. Il est aujourd’hui célébré comme l’un des penseurs les plus profonds et les plus créatifs du XXe siècle chinois, un homme qui a servi de « Grand Mur vivant protégeant la culture traditionnelle chinoise ».

Son syncrétisme audacieux entre bouddhisme, confucianisme et taoïsme, ainsi que sa défense d’une réalité dynamique et créatrice, continuent d’alimenter les débats contemporains sur la possibilité d’une modernité proprement chinoise.

Xiong Shili se dresse comme une figure pivotale, un « pont » philosophique entre la tradition chinoise classique et les défis de la modernité. En refusant à la fois le rejet total de la tradition (prôné par certains modernisateurs) et l’adoption acritique de la philosophie occidentale, il a entrepris la tâche monumentale de reconstruire une métaphysique confucéenne pour le monde moderne.

Son œuvre, le Xin Weishi Lun, a non seulement fourni la base ontologique nécessaire à la renaissance du confucianisme au XXe siècle, mais continue d’inspirer les débats contemporains en Chine sur l’identité philosophique et la vitalité de la pensée. Son « esprit de solitude » symbolise l’engagement intellectuel intransigeant requis pour repenser les fondements d’une civilisation en crise.

Pour aller plus loin

  • Edward F Connelly PhD, Xiong Shili: Republican Revolutionary, Buddhist Scholar, Professor of Philosophy, (en anglais)
  • John Makeham, Xiong Shili's Treatise on Reality and Function, (en anglais)
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