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Structure
  1. En raccourci
  2. Origines et formation (1743 – c. 1764)
    1. Le milieu marchand de Düsseldorf
    2. L’apprentissage à Genève
  3. Le philosophe du salon (c. 1764 – 1784)
    1. Retour et double vie
    2. L’épicentre intellectuel de Pempelfort
  4. Œuvre majeure et maturité : La querelle du panthéisme (1785 – 1789)
    1. La bombe des « Lettres sur Spinoza »
    2. L’accusation de « Panthéisme »
    3. Le dilemme fatal de la raison
    4. La réponse de Mendelssohn et le « Salto Mortale »
  5. Le dialogue critique avec l’Idéalisme (1787 – 1811)
    1. La critique incontournable de Kant
    2. L’exil et la présidence à Munich
  6. Dernières années et synthèses (1811 – 1819)
    1. « Des choses divines et de leur révélation » (1811)
    2. La confrontation finale avec l’Idéalisme
    3. Mort à Munich
  7. Héritage
    1. L’agitateur nécessaire
    2. Postérité et influence durable
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Friedrich Heinrich Jacobi
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  • Philosophie moderne

Friedrich Heinrich Jacobi (1743–1819) : La philosophie de la foi et le nihilisme de la raison

  • 01/11/2025
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OrigineAllemagne (Saint-Empire romain germanique)
Importance★★★★
CourantsPhilosophie moderne, Critique de l’Aufklärung, Idéalisme allemand (comme interlocuteur critique), Précurseur du Romantisme
ThèmesFoi (Glaube), Raison (Vernunft), Querelle du panthéisme (Pantheismusstreit), Salto Mortale, Nihilisme

Philosophe, écrivain et influent homme de salon, Friedrich Heinrich Jacobi fut l’une des figures les plus perturbatrices et stimulantes de l’idéalisme allemand. Critique féroce de la raison systématisante, il a forgé le concept moderne de nihilisme et a opposé à la logique des Lumières l’irréductibilité de la foi immédiate (Glaube).

En raccourci

Friedrich Heinrich Jacobi était un penseur allemand qui a jeté un pavé dans la mare des Lumières. À une époque où tout le monde (comme Kant) essayait de tout expliquer par la raison, Jacobi a sonné l’alarme. Son message principal ? Si vous suivez la raison pure jusqu’au bout, vous tombez dans un piège : le « nihilisme ».

Le nihilisme, pour lui, c’était le système de Spinoza : un univers où tout est déterminé, où Dieu n’est que la Nature, et où la liberté humaine n’est qu’une illusion. Pour Jacobi, cette vision froide et mécanique vide le monde de tout sens. Il a déclenché un énorme scandale (la « Querelle du panthéisme ») en affirmant que le grand penseur Lessing était secrètement d’accord avec cette idée.

Quelle est la solution de Jacobi ? Le « Salto Mortale » (le « saut mortel »). Il affirme que la raison ne peut pas tout prouver. Pour croire en Dieu, en la liberté, et même en l’existence du monde extérieur, il faut faire un « saut de la foi ». Il appelle cela le « Glaube », une croyance intuitive et immédiate. Cette idée a profondément agacé Kant et Hegel, mais elle a ouvert la voie à des penseurs comme Kierkegaard et aux existentialistes, qui ont mis l’accent sur la foi personnelle contre les grands systèmes.

Origines et formation (1743 – c. 1764)

Le milieu marchand de Düsseldorf

Né le 25 janvier 1743 à Düsseldorf, Friedrich Heinrich Jacobi est le fils d’un riche marchand de sucre et conseiller commercial. Son milieu familial, aisé et cultivé, est marqué par une foi protestante (calviniste) à la fois piétiste et ouverte aux idées des Lumières modérées.

Cette double influence d’une piété intérieure et d’un commerce tourné vers le monde façonnera sa personnalité. Son père le destine logiquement à reprendre l’entreprise familiale, une carrière pour laquelle le jeune Jacobi ne montre que peu d’enthousiasme, préférant de loin la littérature et la philosophie.

L’apprentissage à Genève

Pour parfaire sa formation commerciale, son père l’envoie en 1759 à Genève. Ce séjour, qui dure trois ans, s’avère être un tournant intellectuel décisif. Genève est alors un carrefour cosmopolite de la pensée européenne.

Plutôt que de se consacrer aux affaires, Jacobi fréquente assidûment les cercles intellectuels. Il rencontre des figures de premier plan, comme le naturaliste et philosophe Charles Bonnet, et se trouve à proximité du cercle de Voltaire, bien qu’il ne partage pas son scepticisme.

L’influence la plus profonde de cette période est sa découverte de Jean-Jacques Rousseau. La lecture de La Nouvelle Héloïse et de l’Émile le bouleverse. Il trouve chez Rousseau une validation de la primauté du sentiment sur la froide analyse, de l’intuition morale sur la dissection rationnelle. Cette intuition que la vérité se sent plus qu’elle ne se prouve deviendra la pierre angulaire de sa philosophie.

Le philosophe du salon (c. 1764 – 1784)

Retour et double vie

De retour à Düsseldorf en 1762, Jacobi se plie aux volontés paternelles. Il épouse Betty von Clermont en 1764, issue d’une riche famille d’Aix-la-Chapelle, et prend une part active dans la gestion des affaires familiales, qu’il dirigera avec compétence après la mort de son père en 1766. Il occupe également des fonctions officielles mineures à la cour des duchés de Juliers et de Berg.

Cette vie de notable bourgeois masque cependant sa véritable passion. Sa fortune lui permet de tenir un salon littéraire et philosophique qui devient l’un des plus importants d’Allemagne.

L’épicentre intellectuel de Pempelfort

Sa maison de campagne à Pempelfort, près de Düsseldorf, devient un lieu de passage obligé pour l’élite intellectuelle du mouvement Sturm und Drang (Tempête et Passion) et des Lumières (Aufklärung).

Jacobi y reçoit et entretient des correspondances nourries avec les esprits les plus brillants de son temps : Goethe (avec qui il noue une amitié profonde lors d’un voyage commun en 1774), Wieland, Herder, et surtout Johann Georg Hamann. Hamann, le « Mage du Nord », critique radical de l’abstraction des Lumières, renforce chez Jacobi la méfiance envers la raison pure et l’importance de la révélation historique et de l’expérience vécue.

Pendant cette période, Jacobi n’est pas un philosophe universitaire ; c’est un penseur indépendant, un « dilettante » au sens noble, qui mûrit sa pensée au contact direct des controverses de son époque.

Œuvre majeure et maturité : La querelle du panthéisme (1785 – 1789)

La bombe des « Lettres sur Spinoza »

L’entrée fracassante de Jacobi sur la scène philosophique a lieu en 1785 avec la publication de ses Lettres sur la doctrine de Spinoza, à l’intention de Monsieur Moses Mendelssohn (Über die Lehre des Spinoza in Briefen an den Herrn Moses Mendelssohn).

L’affaire commence quelques années plus tôt, lors d’une conversation en 1780 avec Gotthold Ephraim Lessing, le dramaturge et philosophe emblématique de l’Aufklärung allemande, peu avant la mort de ce dernier. Au cours de cet échange, Jacobi prétend que Lessing lui aurait avoué son adhésion secrète au spinozisme, résumant sa position par la formule « Hen kai pan » (Un et Tout).

L’accusation de « Panthéisme »

À cette époque, Spinoza est largement considéré en Allemagne comme un penseur maudit. Son système, le panthéisme (l’idée que Dieu et la Nature sont une seule et même substance), est perçu comme un athéisme déguisé et un fatalisme radical, niant la liberté humaine, l’immortalité de l’âme et un Dieu personnel.

En « révélant » que Lessing, le parangon de la raison éclairée, était un spinoziste, Jacobi lance une attaque dévastatrice contre le cœur même des Lumières. Il s’adresse publiquement à Moses Mendelssohn, grand ami de Lessing et défenseur d’une religion rationnelle, le sommant de s’expliquer.

Le dilemme fatal de la raison

L’argument central de Jacobi est un dilemme impitoyable : toute philosophie qui se veut purement rationnelle et démonstrative conduit inévitablement au spinozisme. Pour Jacobi, Spinoza n’a pas commis d’erreur ; il a simplement été le philosophe le plus cohérent. Si l’on part du principe que tout doit avoir une cause et que tout peut être expliqué par la logique (le principe de raison suffisante), on aboutit fatalement à un système unique, déterministe et impersonnel où Dieu est tout, et où la liberté individuelle est une illusion.

Cette conclusion, cet univers mécanique et sans Dieu personnel, est ce que Jacobi identifie comme le Nihilisme. Il est l’un des premiers à utiliser ce terme dans un sens philosophique moderne : la conséquence logique de la rationalité poussée à son extrême est la perte de toute valeur, de toute liberté et de tout sens.

La réponse de Mendelssohn et le « Salto Mortale »

Moses Mendelssohn, horrifié, répond par ses Pages matinales (1785) et Aux amis de Lessing (1786). Il tente de défendre Lessing en proposant un « panthéisme purifié », compatible avec un Dieu personnel. Mais l’effort et le stress de la controverse publique sont immenses ; Mendelssohn meurt subitement en janvier 1786, ce que beaucoup reprocheront à Jacobi.

Face à ce qu’il voit comme l’abîme nihiliste de la raison, Jacobi propose la seule issue possible : le Salto Mortale (le « saut mortel »). La raison, laissée à elle-même, se détruit. Pour fonder l’existence de Dieu, la liberté de la volonté et la réalité du monde extérieur, la raison doit s’arrêter et céder la place à une autre faculté : le Glaube.

Le Glaube de Jacobi n’est pas la foi dogmatique, mais une croyance intuitive immédiate. C’est une certitude du cœur, une révélation intérieure, similaire à la perception sensible. De même que nous savons immédiatement que la table devant nous est réelle (sans pouvoir le prouver logiquement à un sceptique), nous savons immédiatement que Dieu existe et que nous sommes libres.

Le dialogue critique avec l’Idéalisme (1787 – 1811)

La critique incontournable de Kant

La « Querelle du panthéisme » (Pantheismusstreit) force l’ensemble de l’Allemagne philosophique à se repositionner. Elle secoue notamment Immanuel Kant, qui publie sa Critique de la raison pratique (1788) en partie pour répondre à ce défi.

Mais Jacobi devient rapidement l’un des critiques les plus perspicaces de Kant lui-même. Dans son appendice Sur l’idéalisme transcendantal (1787) à ses Lettres sur Spinoza, il formule l’objection la plus célèbre au système kantien.

Il attaque le concept de chose en soi (Ding an sich). Jacobi souligne une contradiction fatale :

Pour « entrer » dans le système de Kant, il faut supposer que les objets extérieurs (les choses en soi) causent nos sensations.

Mais une fois « dans » le système, la catégorie de « causalité » ne peut s’appliquer qu’à l’intérieur de l’expérience (aux phénomènes), et jamais à ce qui est au-delà (la chose en soi).

Jacobi résume cela par sa formule lapidaire : « Sans cette supposition [de la chose en soi], je ne pouvais entrer dans le système, et avec cette supposition, je ne pouvais y rester. »

Pour Jacobi, le kantisme est tout aussi nihiliste que le spinozisme. En affirmant que nous ne pouvons connaître que les phénomènes (nos représentations) et jamais la réalité en soi, Kant nous enferme dans notre propre esprit et nous coupe du vrai Dieu, qui devient un simple postulat moral.

L’exil et la présidence à Munich

La Révolution française, que Jacobi accueille d’abord favorablement avant de la rejeter face à la Terreur, bouleverse sa vie. Lorsque les armées révolutionnaires françaises occupent Düsseldorf en 1794, Jacobi, en tant qu’aristocrate et notable, doit fuir.

Il passe plusieurs années en exil, principalement à Hambourg et dans le Holstein, continuant à écrire. Sa réputation de critique incontournable de l’idéalisme est alors à son comble. En 1804, il est appelé à Munich par le prince-électeur de Bavière (futur roi Maximilien Ier) pour aider à fonder la nouvelle Académie bavaroise des sciences et des humanités. Il en devient le président en 1807.

Dernières années et synthèses (1811 – 1819)

« Des choses divines et de leur révélation » (1811)

À Munich, Jacobi n’est plus seulement le critique, il tente de systématiser sa propre « anti-philosophie ». En 1811, il publie son dernier grand ouvrage, Des choses divines et de leur révélation (Von den göttlichen Dingen und ihrer Offenbarung).

Ce livre est une réaffirmation vigoureuse de sa position de jeunesse. Il y attaque frontalement l’idéalisme absolu du jeune Schelling, qui enseigne alors à Munich. Jacobi accuse Schelling d’avoir simplement créé un nouveau panthéisme, une « philosophie de la nature » qui absorbe Dieu et nie sa personnalité.

La confrontation finale avec l’Idéalisme

Cette publication déclenche une nouvelle et dernière controverse. Schelling répond avec virulence. Surtout, elle pousse Hegel à réagir. Dans son essai Foi et Savoir (Glauben und Wissen, 1802), Hegel avait déjà analysé la position de Jacobi.

Pour Hegel, le Glaube de Jacobi est une solution de facilité, une fuite romantique dans le sentiment subjectif. Hegel reproche à Jacobi d’abandonner la raison trop tôt. L’objectif de Hegel n’est pas d’opposer foi et raison, mais de montrer que la Raison (Vernunft), dans son déploiement dialectique, inclut et dépasse le stade de la simple croyance pour atteindre un savoir absolu (le Wissen). La philosophie de Jacobi reste, pour Hegel, coincée dans l’opposition, incapable d’atteindre la synthèse.

Mort à Munich

Friedrich Heinrich Jacobi meurt le 10 mars 1819 à Munich, laissant derrière lui une œuvre volontairement non systématique mais profondément influente.

Héritage

L’agitateur nécessaire

L’impact immédiat de Jacobi fut immense. La « Querelle du panthéisme » a fondamentalement redéfini les termes du débat philosophique en Allemagne. Elle a forcé les Lumières à se défendre contre l’accusation de nihilisme et a mis le spinozisme au centre des préoccupations, menant à sa réhabilitation par les romantiques et les idéalistes.

Postérité et influence durable

L’héritage de Jacobi est double. D’une part, il fut le « moustique » de l’idéalisme allemand. Ses critiques acérées contre Kant (la chose en soi) et Fichte (l’idéalisme subjectif) ont forcé ces systèmes à se développer et à se justifier. Sans l’objection de Jacobi, l’évolution de Kant à Hegel n’est pas pleinement compréhensible.

D’autre part, en posant l’irréductibilité de la foi, du sentiment et de l’existence individuelle contre l’abstraction des systèmes, Jacobi est devenu un précurseur majeur de la pensée existentielle. Søren Kierkegaard, en particulier, verra en Jacobi un allié de poids. Le Salto Mortale de Jacobi est l’ancêtre direct du « saut de la foi » de Kierkegaard, qui oppose lui aussi la passion de l’existence subjective à la logique impersonnelle du système hégélien.

Friedrich Heinrich Jacobi n’a pas bâti de système, mais il a posé les questions les plus dérangeantes. En forçant la raison à reconnaître ses propres limites et en introduisant la menace du nihilisme au cœur de la modernité, il a assuré que la philosophie ne pourrait plus jamais ignorer la dimension de la croyance, de l’intuition et de l’existence concrète.

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