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Substance

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Définition et étymologie

La substance désigne, dans son usage philosophique technique, ce qui existe en soi et par soi, ce qui subsiste de manière permanente sous les changements apparents, le support des propriétés et des accidents. Le terme provient du latin substantia, traduction du grec ousia (être, essence), formé sur le verbe esse (être) avec le préfixe sub- (sous) et le suffixe -stantia (action de se tenir). Étymologiquement, la substance est donc « ce qui se tient dessous », le substrat permanent qui sous-tend les modifications accidentelles.

Aristote distingue la substance première (l’individu concret : « cet homme-ci », Socrate) et la substance seconde (l’espèce ou le genre : « l’homme », « l’animal »). Cette distinction structure toute la métaphysique ultérieure. La substance se caractérise par son indépendance ontologique : elle existe par elle-même, alors que les accidents (qualités, quantités, relations) n’existent qu’en elle et par elle. La blancheur n’existe pas séparément mais seulement comme blancheur de quelque chose ; ce quelque chose est la substance.

Le concept de substance soulève des questions métaphysiques fondamentales : qu’est-ce qui confère l’unité à un être ? Comment quelque chose persiste-t-il à travers le changement ? Existe-t-il une ou plusieurs substances ? Les substances sont-elles connaissables ou seulement leurs accidents ? La substance est-elle encore un concept viable dans la science moderne ?

Usage philosophique et développements

Les présocratiques : la recherche du substrat permanent

Les premiers philosophes grecs recherchent le principe (archè) permanent sous la diversité changeante des phénomènes. Thalès propose l’eau, Anaximène l’air, Héraclite le feu, Empédocle les quatre éléments. Ces tentatives visent à identifier la substance fondamentale de laquelle tout dérive et en laquelle tout se résout.

Parménide radicalise cette recherche en affirmant l’existence d’une seule substance : l’Être, un, éternel, immuable, indivisible. Le devenir et la multiplicité sont illusions sensibles ; seul l’Être est véritablement. Cette position moniste extrême influence profondément Platon et toute la métaphysique occidentale.

Les atomistes (Leucippe, Démocrite) proposent un pluralisme substantiel : la réalité se compose d’une infinité d’atomes (particules indivisibles, éternelles, immuables) se mouvant dans le vide. Les substances macroscopiques résultent des arrangements atomiques. Cette conception matérialiste et mécaniste préfigure la physique moderne.

Aristote : la théorie classique de la substance

Aristote élabore dans les Catégories et la Métaphysique la théorie classique de la substance qui domine la philosophie occidentale jusqu’à l’époque moderne. La substance (ousia) constitue la première des dix catégories, les neuf autres (quantité, qualité, relation, lieu, temps, position, possession, action, passion) étant des accidents inhérant à la substance.

Aristote distingue la substance première (ousia prôtè) : l’individu concret (Socrate, ce cheval-ci), et la substance seconde (ousia deutera) : l’espèce ou le genre universels (l’homme, l’animal). Seule la substance première existe véritablement comme sujet ultime d’attribution ne pouvant être prédicat d’autre chose. « Socrate est blanc » : Socrate est substance, la blancheur accident. Mais on ne peut dire « la blancheur est Socrate ».

Dans sa métaphysique mature, Aristote analyse la substance sensible comme composée de matière (hulè) et forme (morphè ou eidos). La matière est pure potentialité indéterminée ; la forme est actualité déterminante qui fait qu’une chose est ce qu’elle est. Le bronze (matière) et la forme sphérique constituent la statue comme substance composée. Cette doctrine hylémorphique explique le changement substantiel : une substance naît lorsqu’une nouvelle forme actualise une matière, une substance périt lorsque sa forme se corrompt.

Aristote identifie également la substance à l’essence (to ti èn einai, « ce qu’il était pour être », quiddité). L’essence de l’homme, exprimée par la définition (« animal raisonnable »), constitue sa substance. Connaître véritablement une chose, c’est connaître sa substance, non ses accidents.

Enfin, Aristote postule une substance séparée, éternelle, immatérielle : le Premier Moteur immobile, Pensée de la Pensée, substance pure sans matière, acte pur sans potentialité. Cette théologie philosophique couronne la métaphysique aristotélicienne.

La scholastique médiévale : élaborations et distinctions

Les scolastiques médiévaux, particulièrement Thomas d’Aquin, développent et précisent la théorie aristotélicienne. Thomas affirme la composition de toute créature d’essence et d’existence (esse) réellement distinctes. L’essence (quiddité, substance au sens de quod est, « ce qui est ») détermine ce que la chose est ; l’existence (esse, quo est) fait qu’elle est. Seul Dieu, Être pur (Ipsum Esse Subsistens), identifie essence et existence.

Thomas distingue également substance complète (supposant existence indépendante : un homme) et substance incomplète (ne subsistant pas indépendamment : l’âme séparée du corps, bien que spirituelle). Cette distinction permet de penser l’âme comme substance spirituelle tout en maintenant l’unité substantielle de l’homme.

La doctrine de la transsubstantiation eucharistique, dogme catholique défini au IVe Concile du Latran (1215), applique la métaphysique aristotélicienne : lors de la consécration, la substance du pain se transforme en substance du corps du Christ, tandis que les accidents sensibles (apparence, goût, texture) demeurent miraculement sans substrat substantiel. Cette application théologique rend la métaphysique de la substance indispensable à la doctrine catholique.

Duns Scot complique la théorie en introduisant plusieurs distinctions formelles au sein de la substance : distinction entre nature commune (humanité) et principe d’individuation (haecceitas, « cetteté »), entre différentes perfections formelles (intellect, volonté).

Guillaume d’Ockham ébranle radicalement la métaphysique substantielle par son nominalisme. Seuls les individus singuliers existent ; les natures universelles (substance seconde aristotélicienne) sont de simples termes mentaux ou linguistiques désignant plusieurs individus. Cette critique anticipe la déconstruction moderne du concept.

La modernité : crise et redéfinitions

Descartes redéfinit la substance dans les Méditations métaphysiques et les Principes de la philosophie. La substance est « une chose qui existe de telle sorte qu’elle n’a besoin d’aucune autre chose pour exister ». Strictement, seul Dieu satisfait cette définition ; mais Descartes admet deux substances créées : pensée (res cogitans) et étendue (res extensa). Ce dualisme substantiel fonde la séparation radicale entre esprit et matière, âme et corps.

Chaque substance possède un attribut principal qui constitue son essence : la pensée pour l’esprit, l’étendue pour le corps. Les modes (pensées particulières, figures géométriques particulières) sont des déterminations des attributs. Cette ontologie tripartite (substance-attribut-mode) structure le rationalisme classique.

Le dualisme cartésien soulève immédiatement le problème de l’interaction : comment deux substances radicalement hétérogènes peuvent-elles s’influencer mutuellement ? Les occasionnalistes (Malebranche) et les partisans de l’harmonie préétablie (Leibniz) tentent de résoudre cette difficulté.

Spinoza radicalise et transforme le concept dans l’Éthique. Il existe une seule substance, absolument infinie, Dieu ou la Nature (Deus sive Natura). Cette substance unique possède une infinité d’attributs, dont nous connaissons deux : pensée et étendue. Ce qui apparaît comme substances individuelles (vous, moi, cette pierre) ne sont que des modes, déterminations finies de la substance unique. Ce monisme substantiel panthéiste abolit la transcendance divine et l’indépendance des créatures.

Leibniz propose un pluralisme substantiel radical dans la Monadologie. L’univers se compose d’une infinité de substances simples, les monades, centres de force et de perception. Chaque monade est « sans fenêtres » (n’interagit pas causalement avec les autres) mais reflète l’univers selon sa perspective propre. L’harmonie préétablie par Dieu coordonne leurs développements internes. Cette métaphysique spiritualiste s’oppose au matérialisme mécaniste émergent.

Locke, dans l’Essai sur l’entendement humain, développe une critique empiriste. Nous n’avons jamais l’expérience directe de la substance mais seulement de ses qualités sensibles. L’idée de substance n’est qu’un « je-ne-sais-quoi » (I know not what), un support supposé des qualités observables, une fiction métaphysique commode mais invérifiable. Cette critique ébranle le réalisme substantialiste.

Berkeley radicalise cette position dans ses Principes de la connaissance humaine. La substance matérielle est une chimère métaphysique : esse est percipi (être, c’est être perçu). Seules existent les substances spirituelles (esprits percevants) et les idées perçues. Cet immatérialisme élimine la substance matérielle étendue cartésienne.

Hume achève la déconstruction empiriste. Ni la substance matérielle ni la substance spirituelle (le moi) ne sont données dans l’expérience. Le moi n’est qu’un « faisceau de perceptions » successives, non une substance permanente. Les objets matériels ne sont que collections d’impressions habituellement associées. La substance devient une fiction psychologique, produit de l’habitude et de l’imagination.

Kant : la substance comme catégorie de l’entendement

Kant transforme radicalement le statut de la substance dans la Critique de la raison pure. La substance n’est pas une réalité métaphysique en soi mais une catégorie a priori de l’entendement, une forme conceptuelle que nous appliquons aux phénomènes pour les connaître. Le principe de substance affirme : « Dans tout changement des phénomènes, la substance persiste, et son quantum dans la nature n’est ni augmenté ni diminué. »

Cette catégorie rend possible l’expérience objective en nous permettant de distinguer changement d’état (accident) et changement de substance. Cependant, nous ne connaissons la substance que comme substratum permanent des phénomènes, non comme chose en soi. La métaphysique rationnelle qui prétend connaître la substance de l’âme (psychologie rationnelle) ou du monde (cosmologie rationnelle) tombe dans des paralogismes et des antinomies.

Critiques contemporaines et alternatives

Nietzsche, dans Par-delà bien et mal et La Volonté de puissance, rejette la métaphysique de la substance comme fiction grammaticale. La structure sujet-prédicat du langage nous fait croire faussement à l’existence de substances permanentes sous-tendant les actions. En réalité, il n’y a que devenir, volontés de puissance, forces s’affrontant. « Il n’y a pas d’être derrière l’agir, l’effectuer, le devenir ; l’agent est une fiction ajoutée à l’action – l’action est tout. »

Bergson critique également la substantialisation, particulièrement du moi. Dans l’Essai sur les données immédiates de la conscience, il oppose le moi superficiel (substantialisé, spatialisé) au moi profond (durée pure, flux de conscience). La métaphysique traditionnelle spatialise le temps et substantialise le devenir, trahissant l’expérience vécue.

Whitehead, dans Procès et Réalité, développe une métaphysique du processus remplaçant les substances permanentes par des « occasions actuelles », événements transitoires. La réalité est devenir, non être substantiel. Cette « philosophie de l’organisme » influence la théologie du processus et certaines interprétations de la physique quantique.

Heidegger critique radicalement l’ousia comme détermination fondamentale de l’être dans la métaphysique occidentale. Cette conception de l’être comme présence subsistante, permanence, substance constitue l’« oubli de l’être » caractéristique de la métaphysique. Être et Temps propose de penser l’être autrement, à partir du Dasein (être-là) dont le mode d’être est existence temporelle, non substance permanente.

La philosophie analytique contemporaine discute le statut ontologique de la substance. Les théories des faisceaux (bundle theories, dérivées de Hume) considèrent les objets comme collections de propriétés co-instantiées sans substrat substantiel. Les théories du substrat maintiennent qu’un support (substance) est nécessaire pour porter les propriétés. David Armstrong défend un réalisme modéré : les substances sont états de choses (propriétés instanciées dans des particuliers).

La physique moderne ébranle également le concept. La physique quantique remet en question l’individualité substantielle des particules (indiscernabilité, intrication). La théorie des champs remplace les substances ponctuelles par des excitations de champs. Certains philosophes (Ladyman, Ross) proposent un « réalisme structurel » : les structures et relations sont fondamentales, non les substances individuelles.

Malgré ces critiques, le concept de substance demeure opérant dans certains contextes. La métaphysique néo-aristotélicienne (E.J. Lowe, Michael Loux) défend la substance comme catégorie ontologique fondamentale. Le débat sur l’identité personnelle mobilise la question substantielle : qu’est-ce qui fait que je suis la même personne à travers le temps ? Les réponses substantialistes (substance spirituelle immatérielle) s’opposent aux réponses fonctionnalistes ou narratives.

La substance reste ainsi un concept philosophique fondamental mais contesté, qui interroge la permanence dans le changement, l’unité dans la diversité, l’identité à travers le temps – questions centrales de la métaphysique depuis ses origines grecques jusqu’aux débats contemporains en ontologie, philosophie de l’esprit et philosophie de la physique.

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