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Scepticisme

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Définition et étymologie

Le scepticisme désigne l’attitude philosophique qui consiste à suspendre son jugement sur toute question ne pouvant être établie avec certitude, ou plus radicalement, la doctrine affirmant l’impossibilité d’atteindre une connaissance certaine et définitive. Le terme provient du grec skeptikos (« qui examine », « qui observe »), dérivé du verbe skeptesthai (« examiner », « considérer », « regarder attentivement »). Étymologiquement, le sceptique est donc celui qui examine, qui enquête sans se précipiter vers des conclusions hâtives.

Dans son usage philosophique, on distingue plusieurs formes de scepticisme. Le scepticisme radical ou pyrrhonien soutient qu’aucune connaissance certaine n’est possible et qu’il faut suspendre son jugement sur toute chose (épochè). Le scepticisme modéré ou académique affirme qu’on ne peut atteindre la certitude absolue mais qu’on peut établir des degrés de probabilité permettant d’orienter l’action. Le scepticisme méthodologique utilise le doute comme instrument provisoire pour éliminer les croyances mal fondées et parvenir à des vérités certaines (Descartes). Le scepticisme local restreint le doute à des domaines spécifiques (morale, métaphysique, religion) tout en admettant la possibilité de connaissance dans d’autres domaines (sciences empiriques).

Le scepticisme s’oppose au dogmatisme, qui affirme posséder des vérités certaines et définitives, mais diffère également du relativisme, qui nie l’existence de vérités objectives au profit d’une pluralité de perspectives également valides. Le sceptique suspend son jugement là où le relativiste affirme la multiplicité des vérités.

On peut également distinguer le scepticisme théorique ou épistémologique (portant sur la possibilité de la connaissance) du scepticisme pratique ou moral (portant sur la possibilité de fonder rationnellement l’action et les valeurs), bien que ces deux dimensions soient souvent liées dans les philosophies sceptiques.

Usage philosophique

Le scepticisme émerge dans l’Antiquité grecque comme réaction critique aux dogmatismes philosophiques concurrents. Les présocratiques et les sophistes préfigurent certaines thèses sceptiques. Xénophane de Colophon (VIe-Ve siècle av. J.-C.) affirme déjà : « Aucun homme n’a vu ni ne connaîtra jamais la vérité certaine sur les dieux et sur toutes les choses dont je parle ; car même s’il arrivait qu’on dise ce qui est parfaitement accompli, on ne le saurait pas soi-même. » Cette reconnaissance de l’incertitude humaine annonce le scepticisme ultérieur.

Pyrrhon d’Élis (vers 365-275 av. J.-C.) fonde le scepticisme pyrrhonien, la forme la plus radicale du scepticisme antique. Pyrrhon n’a laissé aucun écrit, mais son disciple Timon de Phlionte transmet sa doctrine. Selon Pyrrhon, pour chaque argument affirmant une thèse, on peut construire un argument tout aussi fort soutenant la thèse contraire (isosthénie : égalité de force des arguments opposés). Face à cette situation d’équilibre indécidable, la seule attitude rationnelle est la suspension du jugement (épochè). Cette suspension libère de l’anxiété causée par la recherche vaine de la vérité et conduit à la tranquillité d’âme (ataraxia). Paradoxalement, le scepticisme pyrrhonien devient une philosophie thérapeutique : renoncer à connaître procure le bonheur.

Sextus Empiricus (IIe-IIIe siècle ap. J.-C.) systématise et transmet le scepticisme pyrrhonien dans ses Esquisses pyrrhoniennes et ses Contre les dogmatiques. Il formule les célèbres tropes (modes ou arguments) sceptiques permettant de suspendre le jugement. Les dix tropes d’Énésidème incluent : la diversité des animaux (les perceptions varient selon les espèces), la diversité des hommes (les jugements diffèrent selon les individus), la diversité des sens (chaque sens donne des informations différentes), les circonstances (un même objet apparaît différemment selon les conditions), la relativité (tout est relatif à quelque chose d’autre), et d’autres arguments montrant l’impossibilité d’accéder à la nature intrinsèque des choses.

Les cinq tropes d’Agrippa raffinent cette argumentation : le diallèle (argument circulaire : toute preuve requiert une preuve, qui requiert une preuve, etc.), la régression à l’infini (toute justification requiert une justification antérieure sans fin), la relativité (tout jugement dépend du sujet jugeant et des circonstances), l’hypothèse (tout principe premier est arbitraire, posé sans justification), et le désaccord persistant entre philosophes. Ces arguments sceptiques conservent une force considérable, anticipant les problèmes modernes de la justification épistémologique.

Le scepticisme académique, développé par Arcésilas et Carnéade à l’Académie platonicienne (IIIe-IIe siècle av. J.-C.), propose une version plus modérée. Contre les stoïciens qui prétendent atteindre la certitude par les « représentations compréhensives » (phantasiai katalèptikai), les académiques arguent qu’aucune représentation ne garantit sa vérité : l’apparence vraie et l’apparence fausse peuvent être subjective indiscernables. Cependant, contrairement aux pyrrhoniens, les académiques acceptent d’agir selon le vraisemblable (pithanon), selon des degrés de probabilité, permettant ainsi une vie pratique raisonnable malgré l’absence de certitude théorique.

Saint Augustin, dans ses Confessions et Contre les Académiciens (386), rapporte avoir traversé une phase sceptique avant sa conversion. Il combat le scepticisme académique en établissant des vérités indubitables : au minimum, je sais que j’existe, que je vis, que je pense. Ces certitudes immédiates de la conscience résistent au doute sceptique. Augustin anticipe ainsi l’argument du cogito cartésien. Le christianisme médiéval, fondé sur la foi révélée, se méfie généralement du scepticisme, y voyant un danger pour la foi et la théologie.

Michel de Montaigne (1533-1592) réintroduit le scepticisme à la Renaissance. Ses Essais, particulièrement l’Apologie de Raymond Sebond, développent un scepticisme humaniste. Montaigne adopte la devise pyrrhonienne « Que sais-je ? » (Que sçay-je ?). Il multiplie les exemples de diversité des mœurs, des croyances, des opinions, montrant la relativité de ce que nous tenons pour vérités. La raison humaine est faible, contradictoire, incapable d’établir quoi que ce soit avec certitude. Cette reconnaissance de l’ignorance humaine ne conduit pas au nihilisme mais à une sagesse pratique tolérante, respectueuse des coutumes établies et de la foi traditionnelle. Le scepticisme montaignien est conservateur sur le plan social et spirituel : faute de pouvoir connaître le vrai, autant suivre les traditions héritées.

René Descartes (1596-1650) utilise le scepticisme comme méthode dans ses Méditations métaphysiques (1641). Le doute méthodique cartésien radicalise les arguments sceptiques : les sens nous trompent parfois, je ne peux distinguer la veille du rêve, un Dieu trompeur ou un malin génie pourrait me tromper même dans mes évidences mathématiques les plus claires. Cependant, ce doute hyperbolique est provisoire et instrumental, non une fin en soi. Il vise à atteindre une certitude absolue : le cogito (« Je pense, donc je suis ») résiste à tout doute. Descartes reconstruit ensuite tout l’édifice de la connaissance à partir de cette première certitude, prouvant l’existence de Dieu puis la fiabilité de nos facultés cognitives. Le scepticisme méthodologique cartésien est donc un anti-scepticisme : il utilise le doute pour établir des fondements indubitables de la connaissance.

Blaise Pascal (1623-1662), dans ses Pensées, développe une position complexe vis-à-vis du scepticisme. Il reconnaît la force des arguments sceptiques : « Quelle chimère est-ce donc que l’homme ? Quelle nouveauté, quel monstre, quel chaos, quel sujet de contradiction, quel prodige ! […] Juge de toutes choses, imbécile ver de terre ; dépositaire du vrai, cloaque d’incertitude et d’erreur. » La raison seule ne peut réfuter le scepticisme ni établir la vérité. Cependant, Pascal dépasse cette impasse par le « cœur » : « Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point. » La foi chrétienne, fondée sur une expérience existentielle et un pari rationnel, transcende l’opposition entre dogmatisme rationnel et scepticisme.

Pierre Bayle (1647-1706), dans son Dictionnaire historique et critique (1697), développe un scepticisme fideiste. La raison conduit inévitablement au scepticisme, montrant l’incapacité humaine à résoudre les problèmes métaphysiques fondamentaux. Bayle multiplie les apories, les contradictions, les objections contre toutes les positions philosophiques. Cette démolition rationnelle vise paradoxalement à exalter la foi : puisque la raison échoue, seule la foi révélée peut nous guider. Ce scepticisme radical prépare pourtant les Lumières en sapant l’autorité des dogmes traditionnels.

David Hume (1711-1776) développe le scepticisme moderne le plus systématique dans son Traité de la nature humaine (1739-1740) et son Enquête sur l’entendement humain (1748). Hume montre que nos croyances fondamentales (existence du monde extérieur, causalité, identité personnelle, induction) ne peuvent être rationnellement justifiées. La causalité n’est pas une connexion nécessaire perçue mais une habitude psychologique formée par la conjonction constante d’événements. L’induction (inférer le futur du passé) ne peut être justifiée sans circularité. Le moi substantiel est une fiction : nous ne percevons qu’un faisceau de perceptions sans unité sous-jacente. Le monde extérieur ne peut être prouvé : nous n’avons accès qu’à nos impressions, jamais aux objets indépendants supposés les causer.

Cependant, Hume propose un scepticisme mitigé ou académique. Le scepticisme extrême (pyrrhonien) est psychologiquement impossible : la nature nous force à croire, à agir, à vivre selon nos instincts et habitudes. Le scepticisme doit donc être modéré : douter des spéculations métaphysiques extravagantes tout en acceptant les croyances naturelles indispensables à la vie ordinaire. Ce scepticisme mitigé devient une attitude de modestie intellectuelle, de prudence dans les jugements, d’ouverture aux preuves empiriques.

Emmanuel Kant (1724-1804), dans sa Critique de la raison pure (1781), répond au scepticisme humien par sa révolution copernicienne. Le scepticisme de Hume constitue le « scandale de la philosophie ». Kant reconnaît que nous ne pouvons connaître les choses en soi (noumènes), donnant raison au scepticisme sur ce point. Cependant, nous pouvons connaître avec certitude les phénomènes (objets tels qu’ils nous apparaissent) car l’esprit impose ses structures a priori (espace, temps, catégories) à l’expérience. Les jugements synthétiques a priori (mathématiques, principes de la physique) sont universellement et nécessairement vrais pour tout être rationnel. Kant délimite ainsi le domaine de la connaissance certaine tout en acceptant un scepticisme limité concernant la métaphysique traditionnelle (Dieu, âme, monde comme totalité).

Georg Wilhelm Friedrich Hegel (1770-1831), dans sa Phénoménologie de l’Esprit (1807), intègre le scepticisme comme moment nécessaire du développement de la conscience. Le scepticisme constitue une étape dialectique où la conscience découvre l’inadéquation de ses certitudes immédiates. Cette négativité est productive : elle force la conscience à progresser vers des formes plus élevées de savoir. Le scepticisme antique demeure cependant unilatéral, négatif sans être constructif. Le savoir absolu hégélien prétend surmonter définitivement le scepticisme en réconciliant sujet et objet, forme et contenu, dans une compréhension totale.

Au XIXe siècle, le scepticisme moral et métaphysique se développe. Friedrich Nietzsche, bien que critique du scepticisme académique paralysant, pratique une forme de scepticisme généalogique : il déconstruit les prétendues vérités morales et métaphysiques en révélant leurs origines psychologiques et historiques contingentes. Son perspectivisme affirme qu’il n’y a pas de faits, seulement des interprétations, position proche d’un certain scepticisme épistémologique.

Au XXe siècle, le scepticisme se renouvelle. Ludwig Wittgenstein, dans De la certitude (1969), examine les limites du doute. Certaines propositions (« J’ai deux mains », « La Terre existe depuis longtemps ») ne sont pas des connaissances justifiées mais des « certitudes » qui forment le cadre de nos pratiques langagières. Le doute présuppose un arrière-plan de certitudes indoubtées. On ne peut douter de tout simultanément. Ce « anti-scepticisme thérapeutique » dissout le problème sceptique en montrant qu’il repose sur une incompréhension du fonctionnement du langage.

Barry Stroud, dans The Significance of Philosophical Scepticism (1984), soutient que les arguments sceptiques demeurent non réfutés. Le scepticisme philosophique n’est pas une position absurde mais l’aboutissement logique de certaines conceptions naturelles de la connaissance et de la justification. Il révèle des tensions internes à notre épistémologie ordinaire.

Le contextualisme épistémologique (Keith DeRose, David Lewis) propose une solution : les standards de connaissance varient selon les contextes. Dans les contextes ordinaires, nous pouvons légitimement dire « je sais » ; dans les contextes philosophiques sceptiques où les alternatives radicales (malin génie, cerveau dans une cuve) sont considérées, nous ne pouvons pas savoir. Le scepticisme est vrai dans son contexte mais n’invalide pas nos connaissances ordinaires.

Le scepticisme externe contemporain (Peter Unger, Michael Williams) distingue différentes formes de scepticisme et explore leurs structures argumentatives. Certains défendent des formes de « néo-pyrrhonisme » (Peter Klein), d’autres proposent des réponses « fiabilistes » (Alvin Goldman) affirmant que la connaissance requiert seulement que nos croyances soient produites par des processus fiables, sans nécessiter de justification réflexive contre toutes les hypothèses sceptiques.

Le scepticisme demeure ainsi une force philosophique vivante, rappelant constamment les limites de nos prétentions cognitives, stimulant la rigueur épistémologique et la modestie intellectuelle. Que le scepticisme soit ultimement réfutable ou non, sa fonction critique est indispensable : il force la philosophie à examiner ses propres fondements, à clarifier ses concepts de connaissance, de justification, de vérité. Comme l’écrivait Hume, « un vrai sceptique sera aussi méfiant de ses doutes philosophiques que de ses convictions philosophiques », établissant un équilibre vivant entre croyance et suspension du jugement, entre engagement pratique et modestie théorique, attitude qui définit peut-être la sagesse philosophique elle-même.

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