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Réduction

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Définition et étymologie

La réduction désigne l’opération intellectuelle consistant à ramener un phénomène complexe à des éléments plus simples, à expliquer un domaine de réalité par un autre considéré comme plus fondamental, ou à simplifier une théorie en éliminant certains de ses éléments. Le terme provient du latin reductio, dérivé de reducere (« ramener en arrière », « faire revenir »), composé de re- (« en arrière ») et ducere (« conduire »). Étymologiquement, réduire signifie donc « ramener à », « reconduire vers » une origine ou un fondement plus simple.

Dans son usage philosophique et scientifique, la réduction peut prendre plusieurs formes. La réduction ontologique affirme qu’une catégorie d’entités n’est rien d’autre qu’une autre catégorie : les phénomènes mentaux ne sont « rien d’autre que » des processus cérébraux, par exemple. La réduction épistémologique ou théorique prétend qu’une théorie peut être entièrement dérivée d’une autre théorie plus fondamentale : la chimie se réduit à la physique, la biologie à la chimie. La réduction méthodologique consiste à étudier les phénomènes complexes en les décomposant en parties plus simples. La réduction phénoménologique, concept husserlien spécifique, désigne la suspension du jugement sur l’existence du monde pour se concentrer sur les structures pures de la conscience.

La réduction s’oppose au holisme (qui affirme que le tout est irréductible à la somme des parties), à l’émergence (qui soutient que des propriétés nouvelles apparaissent à des niveaux supérieurs de complexité), et au dualisme (qui maintient l’existence irréductible de deux types de réalités). Elle soulève des questions fondamentales : tout est-il réductible à quelques principes ultimes ? Perd-on quelque chose d’essentiel dans cette simplification ? Existe-t-il des phénomènes irréductibles ?

Usage philosophique

Le programme réductionniste traverse toute l’histoire de la philosophie. Les présocratiques cherchent déjà l’archè, le principe unique auquel ramener la multiplicité des phénomènes : l’eau pour Thalès, l’air pour Anaximène, le feu pour Héraclite, les atomes pour Démocrite. L’atomisme de Démocrite et Leucippe propose une réduction radicale : toute réalité se réduit à des atomes indivisibles se mouvant dans le vide. Les qualités sensibles (couleurs, saveurs, odeurs) ne sont que des conventions ; seuls existent réellement les atomes et le vide. Cette ontologie réductionniste élimine les qualités secondes au profit d’une réalité matérielle élémentaire.

Platon opère une réduction inverse, vers le haut plutôt que vers le bas. Les choses sensibles multiples et changeantes se réduisent à des participations aux Idées éternelles et immuables. Comprendre un phénomène, c’est le ramener à son Idée. Cette réduction idéaliste subordonne le sensible à l’intelligible, le multiple à l’Un.

Aristote critique ce réductionnisme platonicien. Dans sa Métaphysique, il affirme que la substance individuelle concrète (tode ti) ne peut être réduite à des universaux abstraits. Les formes (essences) sont inséparables de la matière dans les substances sensibles. De plus, Aristote identifie quatre causes (matérielle, formelle, efficiente, finale) nécessaires pour expliquer complètement un phénomène. Réduire l’explication à une seule cause (par exemple la cause matérielle, comme le font les atomistes) appauvrit la compréhension.

La révolution scientifique moderne instaure un puissant programme réductionniste. Galilée, dans L’Essayeur (1623), opère la distinction entre qualités premières (géométriques et mécaniques) et qualités secondes (sensibles). Les premières appartiennent réellement aux corps et sont mesurables mathématiquement ; les secondes ne sont que des effets subjectifs produits en nous. Cette réduction élimine les qualités sensibles de la réalité objective, ne conservant que les propriétés quantifiables.

René Descartes systématise cette approche. Dans ses Principes de la philosophie (1644), il réduit toute réalité matérielle à l’étendue géométrique. Les corps ne sont que portions d’étendue en mouvement. Tous les phénomènes physiques s’expliquent mécaniquement par figure, grandeur et mouvement. Cette réduction mécaniste triomphe avec la physique newtonienne : l’univers entier, des planètes aux marées, obéit aux mêmes lois mécaniques simples. Le programme de Laplace illustre l’ambition réductionniste ultime : une intelligence connaissant positions et vitesses de tous les atomes à un instant pourrait déduire tout le passé et l’avenir de l’univers.

Cependant, Descartes maintient un dualisme irréductible entre res extensa (substance étendue, le corps) et res cogitans (substance pensante, l’esprit). Cette division résiste à la réduction : la pensée ne peut se ramener à l’étendue géométrique. Le problème corps-esprit naît de cette impossibilité apparente de réduire le mental au physique.

Les matérialistes radicalisent le réductionnisme en éliminant le dualisme. Julien Offray de La Mettrie, dans L’Homme-machine (1747), réduit l’être humain entier, y compris sa pensée, à un mécanisme matériel complexe. Le baron d’Holbach, dans son Système de la nature (1770), développe un matérialisme réductionniste total : tout, y compris la conscience, la morale et la société, s’explique par le mouvement de la matière selon des lois nécessaires.

David Hume opère des réductions épistémologiques importantes. Dans son Traité de la nature humaine (1739-1740), il réduit les idées à des copies affaiblies d’impressions sensibles. La causalité se réduit à une habitude psychologique formée par la conjonction constante d’événements. Le moi substantiel se réduit à un faisceau de perceptions sans unité sous-jacente. Ces réductions éliminent les entités métaphysiques (substance, causalité nécessaire, âme) au profit de contenus empiriques observables.

Auguste Comte, fondateur du positivisme, propose une classification hiérarchique des sciences (mathématiques, astronomie, physique, chimie, biologie, sociologie) où chaque niveau se réduit en principe au niveau inférieur. Cette hiérarchie réductionniste inspire le programme de l’unité de la science poursuivi par les positivistes logiques du Cercle de Vienne au XXe siècle.

Edmund Husserl (1859-1938) introduit un concept entièrement différent : la réduction phénoménologique ou épochè. Dans ses Idées directrices pour une phénoménologie (1913), Husserl propose de « mettre entre parenthèses » la thèse naturelle de l’existence du monde. Cette suspension du jugement n’est pas un doute sceptique mais une méthode pour accéder aux structures essentielles de la conscience intentionnelle. En « réduisant » (au sens de reconduisant) l’attention des objets vers les vécus de conscience qui les visent, le phénoménologue découvre les essences universelles. Cette réduction eidétique (vers les essences) et transcendantale (vers la subjectivité constituante) ne simplifie pas mais révèle la complexité structurelle de l’expérience. Contrairement aux réductions scientifiques qui éliminent, la réduction phénoménologique dévoile.

Le XXe siècle voit s’intensifier les débats sur le réductionnisme scientifique. Le néo-positivisme logique défend un programme réductionniste ambitieux. Dans Der logische Aufbau der Welt (1928), Rudolf Carnap tente de reconstruire tous les concepts scientifiques à partir d’éléments de base (les vécus élémentaires ou Elementarerlebnisse) et de relations logiques. Ce projet de réduction épistémologique échoue face aux difficultés techniques et aux critiques de Quine.

Ernest Nagel, dans The Structure of Science (1961), analyse systématiquement les conditions de la réduction théorique. Une théorie T₂ se réduit à une théorie T₁ si les lois de T₂ peuvent être dérivées logiquement des lois de T₁ plus des « lois-ponts » (bridge laws) connectant les concepts de T₂ à ceux de T₁. Par exemple, « température = énergie cinétique moyenne des molécules » constitue une loi-pont permettant de réduire la thermodynamique à la mécanique statistique.

Cependant, le réductionnisme rencontre des résistances. En biologie, les vitalistes du XIXe siècle (Driesch, Bergson) affirment l’irréductibilité de la vie aux processus physico-chimiques, postulant une force vitale (élan vital) spécifique. Bien que le vitalisme soit abandonné, l’émergentisme le remplace : les systèmes biologiques possèdent des propriétés émergentes qui, bien que résultant de processus physico-chimiques, ne peuvent être prédites ou expliquées par simple agrégation des propriétés des parties. La vie, l’évolution, la conscience seraient des phénomènes émergents irréductibles.

En philosophie de l’esprit, le débat réductionnisme/anti-réductionnisme structure tout le champ. Le béhaviorisme logique (Ryle, Hempel) tente de réduire les énoncés mentaux à des énoncés sur les comportements observables. La théorie de l’identité (Smart, Place, Feigl) affirme l’identité ontologique entre états mentaux et états cérébraux : avoir mal, c’est simplement être dans un certain état neurophysiologique. Le fonctionnalisme (Putnam, Fodor) propose une réduction fonctionnelle : les états mentaux se réduisent à des rôles causaux définissables en termes d’inputs sensoriels, d’outputs comportementaux et d’autres états mentaux.

Ces réductionnismes sont attaqués de multiples côtés. Thomas Nagel, dans « What Is It Like to Be a Bat? » (1974), argue que les aspects qualitatifs subjectifs de l’expérience (les qualia) résistent à toute réduction objective. Frank Jackson, avec son expérience de pensée de « Mary la scientifique », prétend montrer que la connaissance complète des faits physiques n’épuise pas la connaissance de l’expérience consciente. David Chalmers distingue le « problème facile » (expliquer les fonctions cognitives, réductible aux neurosciences) du « problème difficile » (expliquer pourquoi il existe une expérience subjective, irréductible).

Le réductionnisme éliminativiste, défendu par Paul et Patricia Churchland, radicalise la réduction en éliminant purement et simplement les concepts du sens commun (croyances, désirs, sensations) jugés inadéquats scientifiquement. Ces concepts seraient remplacés par les termes d’une neuroscience achevée. Cette position controversée rejette la réduction classique (identifier les états mentaux aux états cérébraux) au profit d’une élimination.

Jerry Fodor développe une critique influente du réductionnisme dans « Special Sciences » (1974). Il distingue réduction ontologique (acceptable : le mental supervient sur le physique) et réduction théorique (impossible : les sciences spéciales comme la psychologie ou l’économie ne peuvent se réduire à la physique car elles découpent le monde selon des catégories fonctionnelles qui ne correspondent pas aux catégories physiques). Les lois psychologiques ou sociologiques possèdent une autonomie explicative irréductible, bien que les entités qu’elles décrivent soient physiquement réalisées.

En philosophie de la biologie, le réductionnisme génétique, qui prétend tout expliquer par les gènes, est critiqué. Le développement d’un organisme implique des interactions complexes entre gènes, environnement cellulaire, environnement externe. Le phénotype ne se réduit pas au génotype. De plus, l’évolution opère à multiples niveaux (gènes, individus, groupes, espèces), résistant à une réduction simple.

Les sciences de la complexité (théorie des systèmes, théorie du chaos, sciences cognitives) soulignent l’importance des phénomènes émergents et des effets non-linéaires où de petites causes produisent de grands effets imprévisibles. Ces développements suggèrent des limites au réductionnisme méthodologique classique.

Hilary Putnam, dans ses travaux ultérieurs, défend un « réalisme interne » qui rejette le réductionnisme scientiste. Il n’existe pas une unique description vraie du monde en termes physiques ; différents schèmes conceptuels décrivent légitimement la réalité à différents niveaux. La question « combien d’objets y a-t-il dans cette pièce ? » n’a pas de réponse absolue indépendante d’un schème conceptuel.

En sciences sociales, le réductionnisme méthodologique individualiste (Max Weber, Raymond Boudon) soutient que les phénomènes sociaux doivent être expliqués par les actions et interactions d’individus. Les entités collectives (classes, nations, institutions) ne sont que des agrégations d’individus. Le holisme sociologique (Durkheim, Marx) affirme au contraire l’irréductibilité du social : les faits sociaux possèdent une réalité sui generis qui ne peut se ramener à la psychologie individuelle.

Le réductionnisme demeure ainsi une position philosophique centrale et controversée, oscillant entre son succès indéniable dans l’explication scientifique (unification théorique, simplification, pouvoir prédictif) et ses limites apparentes face à la complexité, l’émergence, la subjectivité et la pluralité des niveaux de réalité. Le débat révèle une tension fondamentale : l’univers est-il ultimement simple, réductible à quelques lois et entités fondamentales, ou irréductiblement complexe, stratifié en niveaux ontologiques autonomes ? Cette question métaphysique reste ouverte, structurant aussi bien la recherche scientifique que la réflexion philosophique contemporaine.

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