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Structure
  1. En raccourci
  2. Origines et formation intellectuelle
    1. Milieu familial et premières influences
    2. Formation lycéenne et découverte de la philosophie
  3. Jeunesse parisienne et développement philosophique
    1. Les années d’École normale supérieure
    2. Agrégation et premières recherches
  4. Carrière académique et œuvre de maturité
    1. L’enseignement en province et la thèse
    2. Reconnaissance institutionnelle et chaire à Dijon
  5. Consécration parisienne et direction institutionnelle
    1. La Sorbonne et la chaire d’histoire et philosophie des sciences
    2. Création et direction de l’Institut d’histoire des sciences
  6. Œuvres majeures et contributions théoriques
    1. La monumentale histoire de la science antique
    2. Théorie de la continuité scientifique
  7. Dernières années et synthèses philosophiques
    1. Le retour de la physique moderne
    2. Engagement intellectuel et débats philosophiques
  8. Mort et héritage intellectuel
    1. Circonstances du décès et réactions contemporaines
    2. Influence immédiate sur l’épistémologie française
    3. Postérité et actualité de la pensée
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Portrait imaginaire d'Abel Rey, philosophe et historien des sciences français - cette image fictive ne représente pas le personnage réel
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Abel Rey (1873-1940) : L’histoire des sciences comme philosophie du progrès

  • 16/10/2025
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OrigineFrance
Importance★★★
CourantsPositivisme scientifique, Histoire des sciences
ThèmesHistoire de la physique antique, Épistémologie historique, Philosophie scientifique, Continuité du savoir

Abel Rey incarne la transition entre le positivisme du XIXᵉ siècle et l’épistémologie historique moderne, développant une approche originale de l’histoire des sciences comme clé de compréhension du progrès intellectuel humain.

En raccourci

Philosophe et historien des sciences français, Abel Rey (1873-1940) développe une vision originale du progrès scientifique fondée sur l’étude historique. Formé dans la tradition positiviste, il dépasse progressivement ce cadre pour proposer une épistémologie historique novatrice.

Professeur à la Sorbonne, il dirige l’Institut d’histoire des sciences et des techniques, première institution française dédiée à cette discipline. Son œuvre monumentale sur la science antique et médiévale établit la continuité du développement scientifique contre les théories de la rupture.

Figure centrale de l’entre-deux-guerres intellectuel français, Rey dialogue avec les principaux philosophes de son temps tout en formant une génération d’historiens des sciences. Sa méthode, alliant rigueur historique et analyse philosophique, préfigure les développements ultérieurs de l’épistémologie française.

Origines et formation intellectuelle

Milieu familial et premières influences

Né le 29 décembre 1873 à Chalon-sur-Saône dans une famille de la petite bourgeoisie provinciale, Abel Rey grandit dans un environnement marqué par les valeurs républicaines et laïques de la Troisième République. Son père, instituteur puis directeur d’école, incarne l’idéal méritocratique de l’instruction publique. L’atmosphère familiale, imprégnée de foi dans le progrès par l’éducation, forge précocement chez le jeune Rey une conviction profonde : la connaissance rationnelle constitue le moteur principal de l’émancipation humaine.

L’enfance du futur philosophe se déroule dans un contexte politique tendu. Les échos de la défaite de 1870 et les débats sur la laïcisation de l’école publique structurent l’horizon intellectuel de sa génération. Cette double préoccupation – reconstruction nationale et combat pour la raison – orientera durablement sa réflexion philosophique.

Formation lycéenne et découverte de la philosophie

Élève brillant au lycée de Chalon, Rey manifeste rapidement des aptitudes exceptionnelles pour les disciplines scientifiques et littéraires. Ses professeurs remarquent sa capacité peu commune à articuler rigueur mathématique et sensibilité philosophique. Durant ces années formatrices, il découvre Auguste Comte à travers le Cours de philosophie positive, lecture qui constitue pour lui une véritable révélation intellectuelle.

L’influence comtienne marque profondément sa conception initiale du savoir. Il adhère à l’idée d’une classification hiérarchique des sciences et à la vision d’un progrès intellectuel de l’humanité passant par trois états successifs. Néanmoins, dès cette époque, certains aspects du positivisme orthodoxe le laissent insatisfait, notamment le rejet radical de toute métaphysique.

Jeunesse parisienne et développement philosophique

Les années d’École normale supérieure

Admis à l’École normale supérieure en 1893, Rey intègre la prestigieuse institution de la rue d’Ulm au moment où s’y cristallise le renouveau de la philosophie française. Le contexte intellectuel bouillonnant de l’École favorise l’épanouissement de sa pensée critique. Il y côtoie des condisciples qui deviendront des figures majeures de la vie intellectuelle française : Léon Brunschvicg, Élie Halévy, Dominique Parodi.

Durant ces trois années décisives, il suit avec passion les cours de Léon Brunschvicg sur Kant et les sciences, qui lui révèlent la complexité des rapports entre philosophie et connaissance scientifique. L’enseignement d’Émile Boutroux sur la contingence des lois de la nature l’initie à une approche plus nuancée du déterminisme scientifique. Ces influences croisées enrichissent et compliquent sa vision positiviste initiale.

Agrégation et premières recherches

Reçu à l’agrégation de philosophie en 1896, Rey choisit de prolonger sa formation par des études scientifiques approfondies. Cette double compétence philosophique et scientifique deviendra sa marque distinctive. Il suit des cours de physique et de mathématiques à la Faculté des sciences, démarche alors inhabituelle pour un philosophe.

Ses premières publications témoignent de cette orientation originale. Dans un article de 1899 sur « La philosophie scientifique de M. Duhem », il analyse avec finesse les implications épistémologiques de l’énergétique. L’attention portée aux développements contemporains de la physique révèle déjà son souci de fonder la réflexion philosophique sur une connaissance précise des sciences actuelles.

Carrière académique et œuvre de maturité

L’enseignement en province et la thèse

Nommé professeur de philosophie au lycée de Beauvais en 1897, puis à celui de Bourges en 1901, Rey poursuit parallèlement ses recherches doctorales. Ces années d’enseignement secondaire nourrissent sa réflexion pédagogique sur la transmission du savoir scientifique. Il expérimente des méthodes d’enseignement innovantes, utilisant l’histoire des sciences pour faire comprendre les concepts philosophiques.

Sa thèse principale, L’Énergétique et le mécanisme au point de vue des conditions de la connaissance (1907), marque un tournant dans sa carrière. L’ouvrage propose une analyse épistémologique approfondie des transformations de la physique contemporaine. Rey y examine comment le passage du mécanisme classique à l’énergétique modifie notre conception de la connaissance scientifique. La thèse complémentaire, consacrée à la théorie physique chez les physiciens contemporains, confirme son expertise dans l’analyse philosophique des sciences.

Reconnaissance institutionnelle et chaire à Dijon

Le succès de sa thèse lui vaut d’être nommé en 1908 professeur à la Faculté des lettres de Dijon. Cette nomination inaugure une période d’intense production intellectuelle. Rey développe alors sa conception originale de l’histoire des sciences comme discipline philosophique à part entière. Ses cours sur la philosophie scientifique attirent un public nombreux, dépassant le cadre strictement universitaire.

À Dijon, il élabore progressivement sa méthode historico-critique. Contre le positivisme dogmatique, il défend une approche nuancée du développement scientifique, attentive aux contextes intellectuels et sociaux de production du savoir. Ses articles dans la Revue de métaphysique et de morale et la Revue philosophique établissent sa réputation de spécialiste de l’épistémologie historique.

Consécration parisienne et direction institutionnelle

La Sorbonne et la chaire d’histoire et philosophie des sciences

En 1919, Rey accède à la prestigieuse chaire d’histoire et de philosophie des sciences de la Sorbonne, succédant à Gaston Milhaud. Cette nomination consacre la reconnaissance institutionnelle de l’histoire des sciences comme discipline universitaire autonome. Son cours inaugural sur « La philosophie scientifique et l’histoire des sciences » définit un programme ambitieux : comprendre le présent de la science par l’étude de son passé.

Ses cours à la Sorbonne connaissent un succès considérable. Rey y déploie une érudition impressionnante, analysant avec la même acuité la science grecque, la révolution galiléenne et les développements contemporains de la relativité. Son enseignement forme toute une génération d’historiens et de philosophes des sciences, parmi lesquels Alexandre Koyré, qui reconnaîtra sa dette intellectuelle envers son maître.

Création et direction de l’Institut d’histoire des sciences

L’année 1932 marque l’aboutissement d’un projet longuement mûri : la création de l’Institut d’histoire des sciences et des techniques, rattaché à la Faculté des lettres de Paris. Rey en devient naturellement le premier directeur. Cette institution pionnière en France vise à promouvoir la recherche historique sur les sciences et à former des spécialistes de cette discipline émergente.

Sous sa direction, l’Institut devient rapidement un centre intellectuel majeur. Les séminaires qu’il y anime rassemblent philosophes, scientifiques et historiens dans une approche résolument interdisciplinaire. Rey y développe sa conception de l’histoire des sciences comme « laboratoire de l’épistémologue », où s’observent les mécanismes de production et de validation du savoir scientifique.

Œuvres majeures et contributions théoriques

La monumentale histoire de la science antique

Entre 1930 et 1939, Rey publie les cinq volumes de sa monumentale étude sur La Science dans l’Antiquité. Cette œuvre magistrale renouvelle profondément notre compréhension de la pensée scientifique grecque. Contre les interprétations alors dominantes qui voyaient dans la science grecque une pure spéculation théorique, Rey démontre l’existence d’une véritable tradition expérimentale antique.

Le premier volume, consacré à la science orientale et aux origines grecques, établit les continuités entre les savoirs babylonien, égyptien et hellénique. Rey refuse la vision d’un « miracle grec » surgissant ex nihilo. Les volumes suivants analysent successivement la maturité de la science grecque, l’apogée alexandrine, puis le déclin et la transmission au monde médiéval. L’ensemble constitue une synthèse sans équivalent dans l’historiographie française de l’époque.

Théorie de la continuité scientifique

Au fil de ses travaux, Rey élabore une théorie originale du développement scientifique. Contre les conceptions discontinuistes qui insistent sur les ruptures et les révolutions, il défend l’idée d’une continuité fondamentale du progrès scientifique. Les apparentes ruptures masquent selon lui des transformations progressives, des réorganisations conceptuelles préparées par de longues périodes de maturation.

Cette position théorique le conduit à critiquer tant le conventionnalisme de Poincaré que le rationalisme idéaliste de Brunschvicg. Rey maintient l’existence d’un progrès objectif de la connaissance scientifique, tout en reconnaissant le rôle des facteurs sociaux et culturels dans son développement. Sa position nuancée préfigure certains débats ultérieurs de la philosophie des sciences.

Dernières années et synthèses philosophiques

Le retour de la physique moderne

Les années 1930 voient Rey revenir à l’analyse de la physique contemporaine. La révolution quantique et ses implications épistémologiques mobilisent son attention critique. Dans La Philosophie moderne (1933), il examine comment les développements de la microphysique remettent en question les catégories traditionnelles de la pensée scientifique.

Face aux interprétations idéalistes de la mécanique quantique, Rey maintient une position réaliste modérée. Il refuse de voir dans l’indétermination quantique la preuve d’un échec de la rationalité scientifique. Pour lui, ces difficultés conceptuelles témoignent plutôt de l’inadéquation de nos catégories philosophiques héritées et appellent leur renouvellement.

Engagement intellectuel et débats philosophiques

Intellectuel engagé dans les débats de son temps, Rey participe activement aux discussions du Cercle de Vienne lors de ses séjours parisiens. Son dialogue avec les positivistes logiques révèle tant des convergences que des divergences profondes. S’il partage leur souci de rigueur et leur attention au langage scientifique, il critique leur tendance à négliger la dimension historique de la connaissance.

Les dernières années de sa vie sont marquées par une intense activité intellectuelle malgré une santé déclinante. Rey travaille à une synthèse philosophique générale qui articulerait histoire des sciences, épistémologie et philosophie de la culture. Ce projet ambitieux restera inachevé, interrompu par sa mort le 13 janvier 1940, quelques mois avant l’effondrement de la France qu’il avait tant œuvré à éclairer par la raison.

Mort et héritage intellectuel

Circonstances du décès et réactions contemporaines

Abel Rey s’éteint à Paris le 13 janvier 1940, emporté par une pneumonie après plusieurs mois de maladie. Sa disparition, survenant dans le contexte dramatique de la « drôle de guerre », passe relativement inaperçue dans le tumulte des événements politiques. Néanmoins, le monde universitaire salue unanimement la perte d’un maître de la pensée française.

L’hommage prononcé par Gaston Bachelard lors de ses obsèques souligne l’importance pionnière de son œuvre. *Brunschvicg évoque dans la Revue de métaphysique et de morale « le plus grand historien français des sciences de sa génération ». Ces témoignages convergents attestent la reconnaissance dont jouissait Rey parmi ses pairs, par-delà les divergences théoriques.

Influence immédiate sur l’épistémologie française

L’héritage de Rey se manifeste d’abord dans la consolidation institutionnelle de l’histoire des sciences en France. L’Institut qu’il a fondé devient sous la direction d’Alexandre Koyré un centre majeur de recherche épistémologique. La méthode historico-critique qu’il a développée inspire directement les travaux de Georges Canguilhem et, indirectement, ceux de Michel Foucault.

Bachelard, tout en critiquant sa conception continuiste, reconnaît sa dette envers l’attention portée par Rey à l’historicité du savoir scientifique. La notion bachelardienne d’« obstacle épistémologique » peut se lire comme une réponse dialectique à la théorie de la continuité défendue par Rey. Ce dialogue posthume enrichit considérablement la réflexion épistémologique française.

Postérité et actualité de la pensée

L’œuvre de Rey connaît aujourd’hui un regain d’intérêt significatif. Les historiens des sciences redécouvrent la richesse de ses analyses de la science antique, longtemps éclipsées par les travaux ultérieurs. Ses intuitions sur les rapports entre contexte social et développement scientifique anticipent certains développements de la sociologie des sciences contemporaine.

La position épistémologique nuancée de Rey offre des ressources précieuses* pour dépasser les oppositions stériles entre réalisme et constructivisme. Son insistance sur la dimension historique de la rationalité scientifique, sans tomber dans le relativisme, dessine une voie médiane toujours pertinente. Abel Rey demeure ainsi un interlocuteur fécond pour quiconque s’interroge sur la nature et le développement du savoir scientifique, démontrant que l’histoire de la philosophie des sciences éclaire ses enjeux contemporains.

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